Archive for 2006

Informations : le Comité pour une validation équitable

Comité pour une Validation Equitable – Département de Sociologie – Le 28 avril 2006,

POURQUOI UN CVE ?
Présentation
A l’initiative d’étudiants et d’enseignants, un Comité pour une Validation Equitable a été mis en place au département de sociologie. Il est composé de trois enseignants (Marie Bonici, Roser Cusso, Michel Samuel) et de trois étudiantes (Sylvie Desruels M1, Pauline Fourcade L1, Violaine Penzini M1). [lien vers le site internet du Comité pour une Validation Equitable]
Nous pouvons dire que, lors des discussions de ces dernières semaines, une large partie des enseignants et des étudiants de notre département a exprimé un avis positif quant à l’initiative de la création du CVE.
Son objectif est de veiller à ce que soient respectées les décisions prises à l’unanimité par le Conseil d’Administration du 24 mars 2006 dans le contexte de mobilisation contre le CPE, « en ce qui concerne la validation qui ne devra pénaliser aucun étudiant et devra respecter l’égalité de tous ».
Son rôle :
L’intervention du CVE concerne la validation des E.C. du 2nd semestre.
Elle pourra avoir lieu à la demande des étudiants, et dès lors que ceux-ci auront au préalable discuté avec leurs enseignants sans parvenir à trouver une solution.
Chaque situation sera traitée au cas par cas.
Ainsi, le CVE prônera le dialogue entre étudiants et enseignants.
Le CVE : la continuité d’un soutien revendiqué
La communauté universitaire, à travers ses différentes décisions et motions, a fortement manifesté son soutien à cette mobilisation étudiante de grande ampleur. La création de ce type de comité est la continuité concrète de cette volonté affichée.
Même si l’attitude générale de la communauté universitaire de Paris 8 laisse penser qu’étudiants et enseignants s’entendront sur les modalités de validation, il est possible que certains étudiants aient des difficultés à dépasser la « barrière » du dialogue avec leurs enseignants.
Nous espérons que ce comité n’aura pas à traiter de recours proprement dit. Le CVE se veut avant tout une instance médiatrice rassurante incitant au dialogue. En aucun cas il n’a été conçu comme un instrument de contrainte de la « liberté » d’enseignement, ni n’est issu d’une « méfiance » quelconque à l’égard des enseignants.
Comité pour une Validation Equitable

Aucun étudiant ne doit pâtir, en termes de validation, du fait de s’être mobilisé durant le mouvement social « anti-cpe ».
Aussi, si vous ne parvenez à trouver un terrain d’entente avec vos enseignants, n’hésitez pas à nous contacter :
mail : cve-socio@aliceadsl.fr
site internet : http://cve-socio.over-blog.com

Permanences du CVE pour la semaine du 02/05 au 05/05
Les permanences suivantes auront lieu à côté de la salle des professeurs au département de sociologie:
– Mardi 02/05 de 13h à 18h
– Mercredi 03/05 de 14h à 15h
– Jeudi 04/05 de 11h30 à 14h
– Vendredi 05/05 de 14h à 17h

– Mardi 09/05 de 15h30 à 16h30
– Mercredi 10/05 de 14h à 15h
– Jeudi 11/05 de 13h30 à 15h30
– Vendredi 12/05 de 14h à 17h

– Mardi 16/05 de 15h30 à 16h30
– Mercredi 17/05 de 14h à 15h
– Jeudi 18/05 de 13h30 à 15h30
– Vendredi 19/05 de 14h à 17h

Terrains en anthropologie de la pauvreté

Terrains en anthropologie de la pauvreté : pratiques et éthique
Laboratoire dâ??Anthropologie Urbaine
CNRS – 27 rue Paul Bert – Ivry sur Seine
M° Porte de Choisy ou Porte dâ??Ivry
Jeudi 4 Mai 2006 Salle de Conférences – 9 h 30 à 17 h
Journée dâ??étude du GREP — Responsable Daniel Terrolle

A partir de divers exemples de terrain menés en anthropologie dans le cadre de lâ??étude des populations sans-logis, les chercheurs sâ??attacheront à mettre en évidence les difficultés rencontrées lors de lâ??accès au terrain, dans la construction de lâ??objet et dans la diffusion de leurs travaux.
A travers leurs témoignages, cette journée sâ??attachera à cerner la question de lâ??éthique professionnelle au regard de ces diverses expériences et à repérer, dans le cadre de cette thématique â??sensibleâ??, les contraintes multiples quâ??elle est amenée à subir.
Quelle position peut alors être celle de lâ??anthropologue relativement à lâ??objet scientifique quâ??il doit construire dans ce contexte ?

â?¢ 9 h 30 Introduction (D. Terrolle, LAU)
â?¢ 10 h La question de l’accueil dans les associations caritatives contemporaines à travers l’exemple des ESI (Espace Social dâ??Insertion) : place de l’ethnologue et relations avec les plus démunis (A. Clot, Doctorante Paris V – Sorbonne, CERLIS)
â?¢ 11 h Sans concession : le chercheur face à ses â??partenairesâ?? (N. Jouenne, LAU, hors statut)

� 12 h 30 (Possibilité de déjeuner à la cafétéria CNRS)

â?¢ 14 h De l’adaptation à la contorsion : la place du chercheur et les relations d’enquête dans une recherche sur les femmes sans-domicile en région parisienne (C. Amistani, LAU, ANDESI)
â?¢ 15 h Ethique et terrains sensibles (D. Terrolle, LAU)
� 16 h 30 Synthèse et conclusion (D. Terrolle, LAU)

Claude Dargent dans Libération

Le problème de l’inégalité face à l’école ne se situe pas au niveau des classes préparatoires.
Par CLAUDE DARGENT professeur de sociologie à l’université Paris-VIII, Saint-Denis et à Sciences-Po.
Libération, mardi 25 avril 2006

L’idée formulée il y a quinze mois par Patrick Weil tourne beaucoup ces derniers temps : la lutte contre l’inégalité face à l’école passerait par un accès automatique d’un pourcentage minimal de bacheliers issus de chaque lycée dans les classes préparatoires aux grandes écoles. On reconnaît là un avatar du dispositif qui a fait ses preuves à Sciences-Po, contre les sceptiques de tous bords : ménager une voie spéciale d’accès aux meilleurs élèves des lycées implantés en Zone d’éducation prioritaire (ZEP). Malheureusement, une excellente idée appliquée à une petite échelle peut devenir bien mauvaise si elle se trouve généralisée : la réussite du système adopté par Sciences-Po repose sur une démarche contractuelle avec quelques établissements et n’a rien de commun avec un système aveugle de quota au plan national ,qui mettrait en jeu des milliers de lycées.
Une fois de plus, on centre d’ailleurs le débat sur l’enseignement supérieur autour des classes préparatoires. On ferait mieux de songer enfin à remédier au scandale de l’état de nos universités. Le mouvement récent contre le CPE vient d’ailleurs une nouvelle fois de traduire l’inquiétude des étudiants qui y sont inscrits des étudiants dont le comportement a contrasté avec celui de leurs camarades des classes préparatoires et des grandes écoles, beaucoup moins mobilisés. Le gouvernement l’a bien vu qui punit une fois de plus les universités, en refusant de les aider à réparer les déprédations qu’elles ont subies en marge du mouvement…
Mais plus profondément, le sentiment d’une inégalité de traitement est pleinement justifié si on en juge par l’effort que consent l’Etat sur le long terme. Sait-on assez combien coûte au contribuable un élève de classes préparatoires aujourd’hui en France ? 13 760 euros. Et un étudiant en première année de premier cycle à l’université ? 6 700 euros. On le voit, l’Etat dépense deux fois plus pour les enfants des classes supérieures, qui dominent dans les prépas, que pour ceux des classes moyennes et populaires, qui sont cantonnés à l’université. Cela s’appelle la redistribution à l’envers…
Ces chiffres traduisent le dualisme du système français d’enseignement : d’un côté, le secteur sélectif (classes prépa grandes écoles, IUT, STS), de l’autre, les universités où sont contraints d’étudier les bacheliers qui n’ont pu accéder à la voie royale. Soit, dira-t-on, mais tout système scolaire ne doit-il pas être sélectif ? Certes. Mais à condition que les chances ne soient point trop inégales. En France, on est loin du compte.
Si la faiblesse de l’admission des jeunes issus des catégories populaires en classes préparatoires constitue un sujet flagrant d’indignation, croire que l’ouverture forcée des prépas aux élèves de ces milieux sociaux se traduira mécaniquement par leur entrée à X, HEC ou l’ENS témoignerait d’une évidente naïveté sociologique. S’ils ne sont pas effondrés une fois admis à Sciences-Po, c’est que les étudiants issus des ZEP y bénéficient d’un encadrement particulier qui les aide à réussir le diplôme. Une fois entrés en prépa, tout reste à faire. Et pour y avoir enseigné, je peux témoigner combien, dans cet univers de concurrence effrénée, il est difficile pour les enseignants de s’occuper des plus faibles, sous peine de compromettre définitivement les résultats de l’ensemble de la classe. Le couperet du concours risque donc in fine de décimer ce quota d’élèves d’origine modeste introduit autoritairement. Et leur accorder un soutien renforcé aboutirait à renforcer l’écart de coût que je viens de rappeler, au bénéfice d’élèves qui ont une forte probabilité de ne pas franchir la barrière du concours. D’autant que, entre un nombre élevé d’heures de cours et les interrogations orales, ces classes sont déjà très encadrées en terme d’emploi du temps.
D’ailleurs, où inscrirait-on ces nouveaux élèves de classes préparatoires ? A Louis-le-Grand, à Henri-IV, au lycée du Parc ? Voilà qui les condamnerait à une mort scolaire certaine à brève échéance. Dans les classes aux résultats plus modestes implantées en province ou en banlieue ? Ce serait renforcer la hiérarchie entre les prépas des « grands» lycées parisiens et celles des autres établissements. Au bout du compte, ce dispositif aboutirait à augmenter les inégalités territoriales, déjà très choquantes aujourd’hui sur ce dossier. En sociologie de l’enseignement plus qu’ailleurs, l’enfer est pavé de bonnes intentions…
Croire qu’on résoudra le problème de l’inégalité face à l’école en le traitant au niveau des classes préparatoires est donc illusoire : tout se joue bien en amont de l’enseignement supérieur. Lutter contre l’inégalité sociale, qui caractérise notre système scolaire, passe d’abord par une véritable limitation des effectifs des classes en ZEP et par un vrai avantage en terme de moyens affectés, ce qui n’est pas le cas aujourd’hui.
S’agissant de l’enseignement supérieur, plutôt que d’accroître encore le fossé entre les universités et les grandes écoles, il faut au contraire ménager aux classes moyennes et populaires des parcours de réussite via l’université. D’abord en consentant l’effort financier permettant de doter les premiers cycles à un niveau décent, qui s’approche de celui des filières sélectives. En échange, les universités devront se réformer pour faire diminuer le taux dramatiquement élevé des sorties sans diplôme. Mais cela suppose des mesures d’accompagnement, comme obliger les IUT et les STS à ne recruter que des bacheliers technologiques, dont ils constituent le débouché naturel, au lieu pour les premiers d’accorder plus des deux tiers des places dont ils disposent aux bacheliers d’enseignement général. C’est infiniment plus cohérent du point de vue de la formation reçue, et cela développera une orientation positive vers les filières technologiques en lycée. En contrepartie, il faudra mettre en place dès la première année de premier cycle des parcours adaptés à ces bacheliers, qui y échouent massivement aujourd’hui. On pourra alors, en augmentant les admissions parallèles en provenance de l’université, parvenir à une plus grande diversité sociale des élèves des grandes écoles. Autrement, le remède risque d’être pire encore que le mal que l’on constate actuellement. C’est tout dire.

Claude Dargent

Message de la présidence de l’université

Ci-dessous un message du président de Paris 8 (qui n’a pas été publié sur le site principal de l’université)

A l’attention des membres de la communauté universitaire de l’Université Paris 8,
A la suite de la première information diffusée ce jour et concernant l’organisation pédagogique des rattrapages au mois de juin, la Présidence décide les points d’organisation suivants :
L’Université sera fermée ce jeudi 6 avril 2006 à partir de 17 heures jusqu’au lundi 24 avril au matin.
Cette mesure est impérative pour des raisons draconiennes de sécurité et s’applique à toutes les catégories de personnels et d’usagers de l’Université.
Cette mesure vaut également pour la Bibliothèque Universitaire et pour le « bocal » informatique.
La Présidence

Pour vous tenir au courant :
Site de l’UFR4 Histoire, littératures, sociologie
Site d’étudiants en histoire (informations)
Un autre site, Paris8agora (informations)
Site d’une étudiante en sociologie de Paris 8

Réunion enseignants / étudiants

Une réunion du département de sociologie est prévue le vendredi 28 avril à 10h, élargie aux étudiants, pour régler les questions d’évaluation des enseignements du second semestre 05/06.

Pour vous tenir au courant, consultez régulièrement :
Site de l’UFR4 Histoire, littératures, sociologie
Site d’étudiants en histoire (informations)
Un autre site, Paris8agora (informations)
Site d’une étudiante en sociologie de Paris 8

Reprise de contact

Durant la semaine de la rentrée (24 – 29 avril) chaque étudiant devra impérativement reprendre contact avec les enseignants au début des différents cours auxquels il est inscrit.

Pour vous tenir au courant :
Site de l’UFR4 Histoire, littératures, sociologie
Site d’étudiants en histoire (informations)
Un autre site, Paris8agora (informations)
Site d’une étudiante en sociologie de Paris 8

Permanences de Josette Trat / Cours de Pierre Bonte / Cours de Aline Hémond

Josette TRAT propose 3 permanences pour renouer le contact avec ses étudiant-e-s les mercredi 5 et jeudi 6 avril. A cette occasion, elle proposera un travail pour avancer dans la validation des EC :
Mercredi 5 avril entre 15 et 18 h. en B. 3ème étage salle des enseignants de socio.
Jeudi 6 avril entre 9h et 10h30, même salle
Jeudi 6 avril entre 15h et 18h, même salle.

Pierre Bonte, chargé de cours, demande aux étudiants de prendre connaissance de son cours, Anthropologie des sociétés nomades.

Message de Aline Hémond :
INFORMATION pour le cours de « Terrain en anthropologie esthétique » :
QUATRE TEXTES (de P. Bourdieu, C. Lévi-Strauss, R. Layton, Franz Boas) SONT A LIRE POUR LA RENTREE (mercredi 3 mai) (PDF). LES PHOTOCOPIES SONT A RETIRER AU SECRETARIAT DE LICENCE.

LIRE ATTENTIVEMENT LES DOCUMENTS INDIQUANT LE TRAVAIL PERSONNEL DE L’ETUDIANT A FOURNIR POUR LA RENTREE (PDF).
ATTENTION : Le mode d’évaluation a été modifié par rapport aux indications données en début de semestre. Ceci dans le but de ne pénaliser aucun participant au mouvement social et de permettre à tous de continuer à travailler de manière personnelle.
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INFORMATION pour le cours d’ « Anthropologie politique (Amérique latine)
LIRE ATTENTIVEMENT LES DOCUMENTS INDIQUANT LE TRAVAIL PERSONNEL DE L’ETUDIANT A FOURNIR POUR LA RENTREE.
ATTENTION : Le mode d’évaluation a été modifié par rapport aux indications données en début de semestre. Ceci dans le but de ne pénaliser aucun participant au mouvement social et de permettre à tous de continuer à travailler de manière personnelle.
Document 1
Document 2
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Informations (semaines du 27 mars et du 3 avril)

Une « grève active » a été votée mercredi 29 mars par une Assemblée Générale des personnels de l’université Paris 8 (Vincennes – Saint-Denis) : cette grève est reconductible chaque jour (après un vote en assemblée générale : elle peut donc s’arrêter d’un jour à l’autre). Le site de l’UFR4 Histoire, littératures, sociologie recense les informations les plus récentes. [Consulter aussi un message du président de l’université]

Pendant cette période, il est recommandé vivement aux étudiant-e-s de chercher à contacter leurs enseignants afin d’être mis au courant de l’évolution de la situation. Dans le cadre de cette « grève active », les enseignant-e-s seront présents à leurs horaires de cours et, pour connaître les modalités de validation, les conditions de la reprise, l’organisation des « modules transversaux », il est aussi vivement recommandé aux étudiant-e-s de venir à l’université aux horaires de leurs cours.

Site de l’UFR4 Histoire, littératures, sociologie
Site d’étudiants en histoire (informations)
Un autre site, Paris8agora (informations)
Site d’une étudiante en sociologie de Paris 8

Charles Soulié dans Libération

Charles Soulié, maître de conférences au département de sociologie de l’université Paris 8, est interviewé dans Libération du 28 mars 2006 :

Deux jeunesses se croisent à Saint-Denis
Même si un tiers des étudiants de Paris VIII viennent du département, la parole est plutôt réservée à ceux qui savent, ou osent, la prendre, souvent des Parisiens.
Depuis lundi 20 mars, la faculté de Saint-Denis est bloquée. Officiellement, pas de cours. A la place, des forums et des débats sur tous les sujets : «La précarité», «Quelle place pour l’Université dans la ville ?». Paris-VIII est une fac plantée au milieu des quartiers du 93. Son recrutement s’effectue là. En 2001-2002, 29 % de ses étudiants résidaient dans ce département. Mais cette université ne «réussit» pas aux enfants de ce département, écrit Charles Soulié, maître de conférences en sociologie (1). Ils s’évaporent au fur et à mesure de l’avancée des cursus.
A Paris-VIII, il y a des jeunes qui traînent, d’autres qui «squattent» comme au pied d’une tour. Mais ils s’invitent rarement aux débats qui, pourtant, les concernent directement. «Paris-VIII a beaucoup d’enfants d’immigrés, poursuit Soulié lors d’un de ces débats. Or, qui parle dans les AG ? Qui tient la table ? Ces enfants d’immigrés ne sont pas vraiment là. Ils sont étrangers d’une certaine manière.» Un autre professeur poursuit : «Les étudiants les plus mobilisées (contre le CPE, ndlr) sont plus français, plus blancs, plus bourgeois», poursuit-il.
source : Libération, 28 mars 2006

Charles Soulié est notamment l’auteur, récemment, d’un article intitulé : «Des usages sociaux du Deug de Paris-VIII : ségrégation sociale, demandes pédagogiques, et habitus disciplinaires», par Brice Le Gall et Charles Soulié, dans Obstacles et succès scolaires (université Charles-de-Gaulle-Lille-III). Cet article s’intéresse au recrutement social et scolaire, aux attentes pédagogiques, ainsi qu’aux objectifs professionnels de 1.594 étudiants de DEUG de Paris 8 présents en cours et provenant d’une dizaine de disciplines différentes (Histoire, Arts plastiques, Communication, Anthropologie, Géographie, Psychologie, Economie, Droit et Histoire). Ces étudiants ont été contactés au travers d’une enquête par questionnaires et entretiens réalisée par des étudiants de Licence de sociologie en 2002/2003, dans le cadre d’un cours d’enquête de terrain. Il met en évidence la diversité du public étudiant de Paris 8, le caractère différencié de ses attentes pédagogiques en fonction du milieu d’origine, comme de ses objectifs professionnels. Son objectif est de contribuer à la réflexion pédagogique et scientifique sur le devenir de l’université, et plus particulièrement de celle de Paris 8 qui, – à l’origine- , fut fondée sur un projet pédagogique, scientifique, mais aussi politique, singulier.

Décision du département

Conformément à la motion du Conseil d’administration du 17 mars, les cours de la semaine du lundi 20 mars au samedi 25 mars inclus sont suspendus.
Le département de sociologie s’est réuni le 21 mars et a décidé :
-1 les enseignants du département seront présents à leurs horaires habituels de cours et encouragent la participation des étudiants aux conférences dans le cadre de l’université ouverte.
-2 d’une réunion du département de sociologie le lundi 27 mars pour déterminer la position à tenir pour la semaine à venir.
-3 se déclare en grève le 28 mars.

Vendredi, à 16h30 « Crise du logement et précarité sociale », par Claire Lévy-Vroelant (conférence ouverte)

Liste des Forums et Débats, semaine du 20 mars 2006

Informations (semaine du 20 mars)

Réunion du personnel de l’UFR 4 (Histoire, sociologie, littératures)
Saint-Denis, le 20 mars 2006
Chères et chers collègues,
Afin de répondre aux attentes et aux inquiétudes exprimées par de nombreux étudiants et de réfléchir ensemble aux propositions des différents départements concernant le suivi de nos formations (rattrapages en juin, validation, etc…),
afin également d’échanger sur la situation actuelle à la suite de la Motion du Conseil d’Administration sur la suppression des cours cette semaine,
nous vous proposons une RÉUNION GÉNÉRALE DE L’UFR4, enseignants et personnels administratifs, mercredi 22 mars de 10 heures à midi en Amphi B 2.
Bien cordialement,
Denis Bertrand et Marie Huguet

Motion votée en Assemblée Générale du personnel (20 mars 2006) :
En novembre dernier, après la mort brutale de deux leurs amis dans une course poursuite avec la police, les jeunes des quartiers populaires entraient en révolte contre l’absence d’avenir que leur réserve cette société. La réponse du gouvernement a été l’instauration de l’état d’urgence. Dans la foulée du CNE, il a créé le CPE. Aujourd’hui les étudiants et les lycéens demandent le retrait du CPE et de la loi sur l’égalité des chances, refusant eux aussi d’être traités comme des kleenex.
Nous universitaires, chercheur-e-s et personnels Iatoss sommes totalement solidaires de ce mouvement. Après le CNE et les CDD pour les seniors, le CPE porte atteinte à l’ensemble des garanties prévues par le code du travail pour les salarié-e-s et ne peut que généraliser la précarité dans toute la société. C’est ce qu’ont bien compris 70% de la population.
Après la mobilisation exceptionnelle du samedi 18 mars, il faut franchir une nouvelle étape. Un appel à une grève générale de l’ensemble des fédérations et confédérations syndicales est indispensable pour marquer la détermination des organisations syndicales et contraindre le gouvernement à reculer.
Mais il ne faut pas attendre. C’est le 23 mars que doit avoir lieu cette grève interprofessionnelle. Retarder cet appel à la grève peut porter préjudice à la mobilisation de trois manières. Plus on attend, plus il existe des risques de confrontations entre des étudiants décidés à franchir les barrages et les étudiants décidés à défendre leur grève ; plus on attend, plus la presse et le gouvernement vont chercher à discréditer le mouvement étudiant et lycéen par les affrontements minoritaires de fin de manifestations ; le gouvernement interprétera enfin ce délai comme l’expression de tergiversations des organisations syndicales. Il faut le convaincre du contraire.
C’est pourquoi, nous universitaires, chercheur-e-s et personnels Iatoss réaffirmons notre soutien à ce mouvement et demandons aux fédérations et confédérations syndicales d’élargir la mobilisation en appelant à une journée de grève interprofessionnelle dès jeudi 23 mars.
Motion votée à l’unanimité en assemblée générale des personnels enseignants et Iatoss, Université Paris 8 – Saint-Denis, ce lundi 20 mars 2006.

Motion du conseil d’administration
texte de la motion du conseil d’administration du 17 mars 2006

L’objectif de cette prise de position étant de maintenir la mobilisation la plus large possible des étudiants et des personnels au cours de la semaine du 20 au 26 mars, il est souhaitable que les enseignants accueillent leurs étudiants à leurs heures de cours afin d’envisager avec eux les formes les plus adéquates de participation au mouvement.
(Denis Bertrand, Directeur de l’UFR 4)

Message de la direction de l’université
Pour la semaine du 20 mars ; à la suite du Conseil d’Administration réuni exceptionnellement ce jour, et toujours pour des raisons de sécurité, l’Université fermera impérativement, chaque soir à 20h et la Bibliothèque à 19h.

Un article de Libération

Paris-VIII-Saint-Denis

«Université ouverte»

«Une jonction étudiants-salariés»

A la faculté de Paris-VIII à Saint-Denis (Seine-Saint-Denis), pendant la grève, les paroles fusent. Depuis hier, c’est «université ouverte». Cours quasiment suspendus ­ car certains profs continuent malgré l’avis du conseil d’administration ­ mais débats entre profs, étudiants et qui veut. Hier matin, la réunion a porté sur la précarité et la «liquidité» de la société. A midi, des étudiants demandent aux professeurs de lever le camp, leur indiquant, à grands renforts de signes de la main, l’amphi d’à côté. Il y a à faire. Et l’AG est plus prioritaire que les concepts. Marie, organisatrice de la tribune, membre de la gauche révolutionnaire, s’y colle : «Je propose qu’on vote la grève pour toute la semaine, comme ça, c’est fait». Votée. Un prof : «Pourvu que la grève soit active !» Les membres du «comité de mobilisation» se présentent, les uns après les autres. C’est fastidieux. Carla : «Je vais essayer de veiller à ce que ce comité ne se transforme pas en bureaucratie.» Un étudiant demande à discuter «de ce qu’on met vraiment sur les banderoles». Plus tard. Le compte rendu de la réunion de la coordination nationale de Dijon est fait. Une salariée de la mairie de Saint-Denis demande que la «jonction se fasse entre les étudiants et les salariés», lors d’une autre assemblée générale. Mais le point crucial, c’est celui pointé par cet enseignant : «Le risque majeur est que ne sorte pas de cette réunion un appel à une journée de grève pour le 23 mars.» Il sortira. Grâce à Josette, enseignante, qui martèle : «Il faut que la journée de grève soit le jeudi 23 et pas la semaine prochaine. Ce qui est important, c’est qu’il y ait un point de départ. Après on est libre de reconduire la grève.» Josette est applaudie. C’est voté, aussi. Un étudiant fait jouer son sifflet. Une autre surenchérit : «On n’entend pas ! On s’écoute !»

source de l’article : Libération

Programme des conférences et forums
(en l’état au 21 mars)
MERCREDI

-10h30 Amphi X : Représentation théatrale de la compagnie « Jolie Môme ».
-10h-12h Amphi A1 (?) : Vie universitaire: une université vivante, une
université qui prépare à la vie / Éléments pour une sociologie de la
mobilisation étudiante à Paris 8.
(Antoine Da Lage / Charles Soulié)
-10h-12h Amphi B2 : « On n’est pas des steaks hachés » documentaire Mc Do.
(discussion animée par V.Roussel et E.Varikas)
-9h-12h C223 : Mondialisation libérale, précarisation sociale et
conséquences politiques.
(Hugo Moreno et Gilbert Achcar)
-12h Amphi B1 : Précarité et inversion des politiques de légitimation des
systèmes économiques et politiques. (Gérard Prévost)
-14h-16h Amphi Y : Projection de « Tempête dans un Macdo », documentaire sur
le mouvement de grève dans un macdo, suivi d’un commentaire des 2
réalisatrices.
-16h-17h Amphi Y : Projection du film « Le bien commun » sur la privatisation
des biens collectifs.

JEUDI (programme non-définitif à cause de la manif)

-10h-12h Amphi A1 (?) : Violence d’état et résistances sociales.
(Daniel Bensaid, Philippe Tancelin)
-Dans la matinée : Forum « Le CPE dans l’horizon de la mondialisation ».
(J.Badura, D.Bensaid, E.Lecerf, G.Navet, et J.Poulain)
-Amphi Y : 9h-10h : Projection de « L’âge de la performance » documentaire sur
l’esprit de compétition au sein d’une entreprise et dans notre société en
général.
10h-11h : Projection d’un film sur les licenciements
massifs .
11h-12h : Projection d’un film sur l’architecture du marché
global et la rôle de la finance.
-12h Amphi B1 : Origines intellectuelles et sociales de la précarité en
France : Néo-marxisme et néo-libéralisme. (Gérard Prévost)

VENDREDI

-9h : « Immigration, 30 ans d’illusion » en lien avec le séminaire de
J.Sénéchal à 10h.
-10h-12h Amphi Y : Afrique noire : mondialisation et migrations. (Jacques
Sénéchal)
-9h-12h C101 : Argentine, les ravages du néolibéralisme : privatisations,
déregulation et terrorisme d’état. (Hugo Moreno et Clemens Zobel)
-10h : Projection du film de Jean Rouch et Edgar Morin « Chronique d’un été »,
expérience cinématographique sur les questions : comment vis-tu ? qu’est-ce
que le bonheur ? le travail ? la vie ? (Dominique Villain)
-dans la matinée Amphi X : Sur la loi DADVSI (droits d’auteur) et la
précarisation culturelle.
(Fabrice Rochelandet)
-dans la matinée : Université et professionalisation. (Alain Bué)
-12h-13h30 : Projection de « Attention Danger Travail », portrait d’un chômeur
volontaire
-14h : Dépistage précoce de la délinquance : débat sur le rapport de
l’INSERM
(F.Sellier, Pailhezer, Beaufils, Lambert)
-15h : Le chômage dans les théories économiques. (Marian Eabrasu)
L’État et la question sociale en Espagne. (Gérard Prévost)
SLR: La loi sur la recherche. (Cédric Lombard)
Dépasser le salariat. (Phillipe Maingault)
Les étudiants et le salariat (C022)
-16h : Documentaire sur l’OMC

Motion du Département

MOTION DES ENSEIGNANT-E-S DE SOCIOLOGIE DE PARIS 8 REUNIS LE 13 MARS 06
– Les enseignants présents se sentent concernés par l’augmentation de la précarité qui touche les étudiants par l’instauration notamment du CPE, ainsi que par celle qui touche une partie de plus en plus grande des salariés du public et du privé.
– Les enseignants se déclarent solidaires du mouvement pour le retrait du CPE/CNE et de la loi sur l’égalité des chances.
– S’opposent à toute fermeture administrative de l’université.
– Souhaitent que l’université reste ouverte pour pouvoir maintenir le lien entre étudiants, enseignants et autres membres du personnel, tout en se déclarant disponibles pour les actions collectives.
– Sont favorables à l’organisation de séminaires, de conférences, de cours ouverts, de débats et /ou de forums autour des questions de précarité et de droit du travail au sein des différents départements et UFR.
– S’engagent à ne pas pénaliser les étudiants et à définir en concertation les modalités de validation appropriées à la situation.
– Appellent tous les étudiant-e-s et enseignant-e-s à participer massivement à la grève et aux manifestations de jeudi 16 mars et samedi 18 mars.

Voir aussi la motion votée par l’UFR4 « Histoire, Littératures, Sociologie »

Université fermée samedi 11 mars

Un message de la présidence de l’université nous informe (aujourd’hui vendredi à 15h) que l’université Paris 8 sera fermée samedi 11 mars.

Message du département de sociologie

Afin d’échanger les dernières informations sur la situation à Paris 8 et envisager les éventuelles modalités d’association au mouvement étudiant contre le Contrat première embauche (CPE), les enseignants du département de sociologie se réuniront, lundi 13 mars, dans la matinée, avant l’assemblée générale (étudiants/enseignants/administratifs) de l’UFR4 (Lundi 13 mars, 15h, amphi B2).
Si vous souhaitez nous faire part de votre perception du mouvement (grève, blocages, manifestations…), vous pouvez laisser un commentaire public à ce message en utilisant le formulaire ci-dessous. [mise à jour : le formulaire des commentaires est fermé]

Recrutement d’un-e maître de conférences

UNIVERSITE PARIS 8

N° de l’emploi : 437
Nature : MCF
Section de CNU : 19
Discipline : Sociologie, rapports sociaux de sexe
Filières de formation concernées : Licence et Master de sociologie. La Licence et le Master ouvrent plusieurs parcours étudiants orientés vers les inégalités sociales et les questions de la discrimination dans différents champs (travail, santé, modes de vie…) et la manière dont ces discriminations peuvent être traitées au niveau des politiques publiques. La question des rapports sociaux de sexe est au coeur de ce type de question.
Objectifs pédagogiques et besoin d’encadrement : Enseignement et encadrement des étudiants en licence sur ce thème mais aussi pour des enseignements plus généraux. il est susceptible d’intervenir en Master sur la question des rapports sociaux de sexe.

Les conditions du concours sont précisées dans l’Arrêté du 27 février 2006 portant déclaration de vacance d’emplois de maître de conférences offerts à la mutation, au détachement et, en application du 1° de l’article 26-I du décret n° 84-431 du 6 juin 1984 modifié, au recrutement (année 2006), consultable sur legifrance

Renseignements : contacter Guy Briot au secrétariat du master de sociologie.

Dates des auditions
Réunion de la commission de spécialistes de la Section 19 du CNU, pour examen des dossiers : MERCREDI 3 MAI 2006 à 14 H
Auditions en vue du recrutement : MERCREDI 17 MAI 2006 à 14 H

Message de la direction de l’UFR4

MOBILISATION CONTRE LE CPE : À la suite du blocage de nombreuses universités, en province et à Paris, la mobilisation contre le CPE s’intensifie à Paris 8. Les étudiants ont voté la grève le 6 et le 7 mars, jour de la manifestation nationale. Nous invitons les enseignants à engager la discussion avec leurs étudiants sur cette question et à ne pas pénaliser ceux qui participent à ce mouvement. En soutien à cette mobilisation, la Direction de l’UFR4, plusieurs secrétariats et plusieurs enseignants seront en grève ces jours-là.
La Direction de l’UFR4

mise à jour : Assemblée générale de l’UFR4 le lundi 13 mars à 15h

Le souci des autres, un ouvrage co-dirigé par Patricia Paperman

Patricia Paperman, maîtresse de conférences au département de sociologie de l’université Paris VIII, et Sandra Laugier, ont co-dirigé l’ouvrage Le souci des autres. Éthique et politique du care, aux éditions de l’EHESS. (Collection « Raisons pratiques » ; 16 | février 2006 | 352 pages | 27 euros)
Livre de Patricia PapermanLes publications américaines sur l’éthique du care et ses rapports avec l’éthique de la justice ayant été comparées, non sans quelque sarcasme, à une véritable industrie, l’indifférence des milieux académiques et des féminismes français vis-à-vis d’un mouvement intellectuellement aussi important est étrange. Le moment semble donc venu de présenter l’éthique du care, et de mettre en évidence les raisons d’une telle résistance. C’est bien la dimension provocatrice de l’idée même d’une éthique du care qui la rend difficilement assimilable, et vulnérable. Les questions triviales posées par le care – qui s’occupe de quoi, comment ? – mettent en cause l’universalité de la conception libérale de la justice, installée en position dominante dans le champ de la réflexion politique et morale, et transforment la nature même du questionnement moral.

Antiféminismes et résistances en Amérique et en Europe

Un ouvrage co-dirigé par Josette Trat, maîtresse de conférences au département de sociologie de l’université Paris 8, est publié ce mois-ci par les éditions L’Harmattan :

Depuis des années, on assiste à une floraison de discours anti-féministes ou se présentant comme « postféministes ». La revanche anti-féministe passe par la remise en cause des acquis des décennies précédentes au nom du dualisme, de la complémentarité et de la hiérarchie entre les sexes. La droite conservatrice et les intégrismes religieux cherchent a remettre en cause l’autonomie matérielle et la liberté reproductive des femmes. Le postféminisme affirme que le temps du féminisme serait dépassé. L’égalité entre les sexes serait un fait accompli et les inégalités que l’on peut encore constater entre les hommes et les femmes seraient appelées à disparaitre sous l’effet de l’évolution « naturelle » des sociétés d’aujourd’hui.
Comment analyser cette véritable offensive anti-féministe ? Dans des sociétés américaines et européennes marquées, pour la plupart d’entre elles, par les acquis du féminisme des années 1970, comment se présente l’évolution de la situation actuelle des femmes ? A l’heure de la mondialisation néo-libérale où en est leur autonomie matérielle ? Quelle est l évolution de la scolarisation et de la salarisation des femmes et le contrôle, par elles-memes, de leur sexualité et maternité ? Quelles résistances offrent les mouvements féministes a cette vague de fond réactionnaire ?
Telles sont quelques unes des questions traitées dans ce livre qui éclaire les confrontations sociales et politiques contemporaines autour des rapports sociaux de sexe.
Ont contribué à cet ouvrage : Marie-Jeanne Da Col Richert, Jeanne Fagnani, Marie France Labrecque, Diane Lamoureux, Roland Pfefferkorn, Maria-Lucia da Silveira, Sophie Stoffel, Josette Trat, Katia Vladimirova, Monika Wator.
Antiféminismes et résistances en Amérique et en Europe, Sous la direction de Josette Trat, Diane Lamoureux et Roland Pfefferkorn ; Collection Bibliothèque du féminisme, éditions l’Harmattan, a paraitre courant février 2006), 243 pages – 20 euros environ

Le GTM (Genre, travail, mobilités) organise la présentation de l’ouvrage codirigé par Josette Trat, Diane Lamoureux et Roland Pfefferkorn :
L’autonomie des femmes en question – Antiféminismes et résistances en Amérique et en Europe (L’Harmattan, 2006).
Josette Trat et Diane Lamoureux interviendront en tant qu’auteures et coéditrices, et Helena Hirata comme discutante.

La présentation se tiendra le jeudi 9 mars 2006, à 16 heures, Site Pouchet, Salle de conférence, CNRS – 59 rue Pouchet, 75017 Paris
métro (ligne 13): Brochant ou Guy-Moquet
bus 66: arrêt La Jonquière

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Claire Lévy-Vroelant sur France Culture

L’émission La nouvelle fabrique de l’histoire accueillait, le 16 février, Claire Lévy-Vroelant, professeure de sociologie à l’université Paris 8, dans le cadre d’un dossier consacré à l’histoire du logement social. Vous pouvez écouter l’émission en suivant ce lien La nouvelle fabrique de l’histoire, 16/02/2006, Claire Lévy-Vroelant (format real player).

CAPES de sciences économiques et sociales

Préparation au Capes de sciences économiques et sociales : préinscription à partir du 1er mars 2006 sur le site de l’IUFM de Créteil ( www.creteil.iufm.fr) ou sur le site des IUFM d’Ile de France (www.idf.iufm.fr)
Informations complètes dans la brochure CAPES de SES à Paris 8.