Archive for novembre, 2008

Cinquième stage de terrain : l’Île de Ré

CINQUIÃ?ME STAGE DE TERRAIN POUR LES Ã?TUDIANTS EN LICENCE DE SOCIOLOGIE

Lâ??Ã?le de Ré nâ??accueille pas seulement des vacanciers et des résidents secondaires : du 8 au 15 novembre 2008, neuf apprentis sociologues de l’université Paris 8 ont séjourné à Ars-en-Ré pour étudier la gestion des marais salants (Adelin et Mohamed), la saliculture (Clotilde et Sébastien), la commercialisation du sel et du vin (Marine et Maude), la transmission des exploitations agricoles (Anna et Pauline) ou encore le fonctionnement de la presse locale (Kevin).

Deux enseignants encadraient ce stage : Claudette Lafaye et Michel Samuel, que sont venus rejoindre deux autres collègues â??observatrices participantesâ??, Roser Cusso et Aline Hémond. Car il faudra lâ??année prochaine un groupe dâ??enseignants plus étoffé pour animer la demi-mineure â??pratique dâ??enquêteâ?? que le département de sociologie va mettre en place pour les étudiants de L 3.


Réunion de travail dans le gîte : Claudette prépare avec les étudiants le programme des entretiens et des observations du lendemain (photo Sébastien).

Voici, pour illustrer ce que fut ce cinquième stage, quelques photos et quelques courts textes rédigés par les étudiants-stagiaires.

Un informateur inattendu !
Lors d’un entretien, les informateurs proposent souvent d’autres contacts. Ainsi câ?? est un moment de surprise quand, à propos de la gestion des marais salants, le président d’un syndicat de propriétaires fonciers nous parle de moustiques.
– L’informateur : « Sinon, vous pouvez voir ceux qui s’occupent des moustiques.â??
– L’étudiant (très lentement) : â??Ceux qui s’occupent des moustiques ? »
Après quelques précisions, nous prenons contact et rencontrons le responsable de l’ â??Entente Interdépartementale de Démoustication – Région Atlantique – Division Ã?le de Réâ??. M. Samuel, passionné par tout ce qui pique, nous accompagne. Le personnage est quelque peu atypique avec son Kangoo floqué du logo du service de démoustication, dont le coffre est rempli de sel, avec ses cigarettes dont l’odeur n’évoque aucune marque fumable et un insatiable besoin de bouger qui ne prend fin qu’une fois bien installé au bord dâ??un marais. L’éminent spécialiste de la géographie et de la sociologie des marais de l’Ã?le de Ré se dévoile alors et avec lui 30 ans d’histoire de lutte contre les moustiques. Un seul bémol à cet épisode sympathique, la seule piqûre de moustique dans notre groupe a lieu à ce moment.â?? (Adelin)

Un de nos informateurs, retraité, ancien employé de la Direction Départementale de l’Ã?quipement, toujours passionné par la surveillance et l’entretien des digues qui protègent la côte (photo Mohamed).

Collection dâ??individus et monde dâ??interconnaissance
â??Avant l’arrivée sur le terrain, notre échantillon pour appréhender la question de la transmission des activités viticoles se résume à une liste de noms sous forme de tableau Excel. Surmontant le caractère totalement austère de celle-ci, nous partons avec quatre entretiens en poche, fruit d’un choix des plus hasardeux.
Ce n’est qu’une fois sur place que nous nous rendons compte, avec grand plaisir, que le hasard fait bien les choses. En effet, nos deux premiers informateurs, que nous imaginions étrangers l’un à l’autre, sont en réalité liés par la question de la transmission. Le second est l’un des deux repreneurs du premier.
Nous sommes tombées au cÅ?ur d’un monde d’interconnaissance. Il ne nous reste plus qu’à rencontrer le second repreneur qui n’est autre que le fils de notre deuxième informateur ( ou si vous préférez, le fils du premier repreneur ).
Poursuivant sur cette voie, nous avons rencontré des personnes liées à nos premiers â??enquêtésâ??, mais également certaines connaissances d’individus interviewés par d’autres étudiants. Comme Christophe et Rémy, viticulteurs, maraîchers et neveux de Fernand, un saunier contacté par Clotilde et Sébastienâ?? (Anna et Pauline).

Dans le hall d’entrée du « Phare de Ré », Kevin, un peu anxieux, se prépare à assister à la réunion du comité de rédaction de l’hebdomadaire rétais (photo Aline).

Une trop grande « sensibilité » est-elle un obstacle ou un atout ?
Monsieur Terrolle nous lâ??a souvent répété en cours : â??Si on rate son terrain, lâ??important est de bien comprendre dans quelle mesure on lâ??a raté et de pouvoir lâ??expliquerâ??. Dans ce cas, mon erreur principale a été ma fascination pour un groupe dâ??amis, les jeunes sauniers, adorables et bavards, dont le monde mâ??était totalement inconnu et que je ne suis pas prête dâ??oublier. On a beau lire sur le sujet, connaître quelques termes techniques, rien ne peut préparer au choc dâ??une rencontre… Des affinités apparaissent… Suis-je trop sensible ?… Après ce stage, jâ??ai tendance à croire que je nâ??ai aucunement lâ??âme dâ??une sociologue. Mais pourtant je pense que la manifestation de sa sensibilité peut aussi amener les gens à sâ??étendre sur certains sujets, alors quâ?? â??ils nâ??ont a priori aucune envie de vous raconter leurs viesâ??, comme le dit encore Monsieur Terrolle…â?? (Clotilde).

Michèle, secrétaire de la coopérative des sauniers, explique à Clotilde son travail dans son marais salant (photo Aline).

De la théorie à la pratique
« Câ??est sur le trajet du retour que lâ??on réalise lâ??importance et la nécessité de ce stage, tant il est intense. Il est difficile de saisir, sur l’instant, la richesse de ce que nous avons eu la chance de vivre. Parmi les enseignements retirés de cette expérience, le plus inattendu et le plus riche provient certainement de notre informatrice principale, et ce, bien que Mme LAFAYE et M. SAMUEL nous aient proposé, avec toute la force de leur conviction, dâ??apprendre à déguster les huîtres et à savourer le Pineau.
En nous facilitant l’accès au terrain par la constitution d’une liste de personnes intéressantes à contacter, Michèle – saunière et membre du conseil d’administration de la coopérative des sauniers – nous a permis d’expérimenter un des phénomènes liés à la pratique de terrain : l’ â??enclicageâ??. Ce passage de la théorie à la pratique permet de se confronter – souvent avec étonnement – aux réalités du terrain, et l’encadrement pédagogique de qualité permet d’appréhender le gouffre encore présent entre les sociologues en herbe que nous sommes et l’expérience de nos enseignants. Ces stages devraient être obligatoires. » (Sébastien)

Ã? l’accueil de l’écomusée du marais salant, Marine, Clotilde et Maude cherchent à obtenir le nom de nouveaux informateurs (photo Sébastien).

Les rencontres ne prennent pas toujours les formes que l’on imagine !
â??Lors de notre entretien avec le responsable commercial de la coopérative des vignerons, il y a méprise sur notre statut. Celui-ci nous prend pour deux étudiantes d’IUT â??Tech de Coâ?? et se lance dans une session de formation commerciale accélérée des deux stagiaires qu’il croit avoir devant lui. Pour nous qui nous intéressons aux différentes formes de commercialisation du vin et du sel sur l’île de Ré, c’est du pain béni. À la fin de son exposé, il nous propose de revenir faire un stage quand nous voulons ! “ (Marine et Maude).

Au bar « Les frères de la côte », Mohamed, Sébastien et Maude, passionnés par ce que leur raconte un saunier.


IMG 8385 jpg : Adelin et Aline : utilisation des moyens de transport locaux et appropriation du terrain d’enquête (photo Sébastien).

Pour en savoir plus :
Les stages de terrain du département de sociologie sont organisés depuis quelques années. Ils ont fait l’objet de compte-rendus sur le site : stage 4, stage 1, stage 2, stage 3

Jean-François Laé sur France Culture

« Aller ou non aux Prud’hommes ? Un accès difficile à la justice du travail« , avec Isabelle Astier et Jean-Francois Laé, professeur de sociologie à l’université Paris VIII. Vendredi 5 décembre 2008 à 16h sur France Culture dans l’émission «Sur les Docks».

Le traitement du  » social  » dans les médias, en particulier dans les espaces journalistiques, se limite souvent à la couverture des conflits sociaux les plus emblématiques, qu’ils portent sur des revendications collectives de masse (réforme des régimes de retraite, réforme de la fonction publique) ou sur des affrontements internes à une entreprise (Metaleurop, Moulinex). En revanche, on s’intéresse plus rarement à la justice sociale du quotidien, celle des prud’hommes, que révèlent jour après jour les conflits individuels entre les salariés et leurs employeurs. Rien de bien spectaculaire dans ces micro-duels où, dans la majorité des cas (83%), les individus contestent leur licenciement qu’ils jugent abusifs. Rien de bien spectaculaire, et pourtant, c’est aussi dans les tribunaux des prud’hommes que s’écrit l’histoire sociale de notre pays.
Nous proposons donc de mener un travail documentaire sur ce terrain, à l’aide de deux sociologues qui l’ont investi depuis 2007 : Isabelle Astier et Jean-François Laé, qui travaillent à Creil.
Le premier constat est le suivant : ce sont les salariés les moins armés socialement qui ont recours aux prud’hommes. Quand ils vont jusque là, car de nombreux salariés abandonnent l’idée d’obtenir réparation.
Les questions sont les suivantes : quelles raisons poussent les salariés à aller aux prud’hommes ? Comment préparent-ils leur dossier ? Combien sont-ils à renoncer à aller jusqu’au procès ? Pourquoi ? Quelle perception ont-ils de cette justice ?

Un documentaire de Christophe Deleu et Jean-Philippe Navarre
Réalisation : Jean-Philippe Navarre

Plus d’information sur le site de France-Culture.

Réunion Erasmus : 11 décembre 2008

Jeudi 11 décembre 2008 de 9h à 10h (3e étage, Bat. B, « salle des enseignants » du département de sociologie, B336) : réunion de présentation des programmes d’échange (Erasmus, Crepuq — avec le Québec, et Micefa — avec les Etats-Unis), en présence d’Annick Lemonnier, d’Ingolf Diener et de Claire Lévy-Vroelant. Les étudiants et les étudiantes intéressées sont priées d’y assister.

Pour un récit (avec photos) d’une étudiante actuellement en séjour Erasmus (en Espagne) lisez : Camille à Séville – ?p=811.

Flavia Carraro, »Diffusionnisme, diffusion et mondialisation » :

Changement de lieu et horaire pour le cours du 2 décembre 2008
Le cours de mardi 2 décembre 2008 aura lieu à Paris 8, en salle A 010 de 12h à 15h.

P. Paperman Cours du lundi 12h-15h. Grands Courants 2. Goffman

Lundi 1er décembre 2008 et lundi 8 décembre 2008, les étudiants seront répartis en deux groupes afin de pouvoir travailler sur les données d’observation et élaborer une analyse collectivement.
Les étudiants qui étaient absents lors du cours du 24 novembre et par conséquent qui ne se sont pas inscrits dans l’un des deux sous-groupes (soit pour le lundi 1er décembre, soit pour le lundi 8 décembre), doivent _impérativement_ me contacter par mail pour déterminer à l’avance la date de leur présence à l’une de ces deux séances.
Les indications pour mener les observations sur les interactions sont rappelées dans le document ci-dessous :

E. Goffman: l’interaction dans tous ses états
Lundi 12h-15h
Observations

Relevez et décrivez au moins trois scènes d’interaction mettant en œuvre un processus de réparation, en vous appuyant sur l’analyse qu’en propose Goffman dans les extraits étudiés en cours (Rites d’interaction et la Mise en scène de la vie quotidienne. Les relations en public. Vos observations peuvent être faites sur des interactions entre personnes qui se connaissent et entre inconnus dans des lieux publics.

1.Précisez le lieu, le moment, la durée de la scène, le nombre des participants.

2.Donnez quelques indications scéniques : cadre, décor, disposition des lieux et des protagonistes.

3. Racontez comment vous vous êtes aperçu de l’incident, et comment vous en avez compris la nature

4. Décrivez le déroulement de l’échange jusqu’à la restauration de l’ordre expressif (le retour à la normale) ou la rupture de l’interaction :

– notez les échanges verbaux, les intonations, les gestes, les regards, les postures du corps ;
– pouvez-vous, dans chaque cas, distinguer les quatre mouvements de l’échange (sommation, offre de réparation, acceptations, remerciements) ? En quoi consistent-ils dans chacune des situations observées ?
– quelles déviations notables avez-vous pu constater par rapport au modèle général ?
– y a-t-il eu des moments dans l’échange qui étaient susceptibles de mettre en cause la réussite du processus de réparation. Si oui, situez-les précisément dans l’enchaînement des mouvements et faites-en le compte-rendu.

Les descriptions doivent être aussi complètes que possible pour rendre compréhensible le déroulement du processus de réparation

Salle Rémy Ponton + absence

Monsieur Rémy Ponton effectuera son cours Analyse en Sociologie de la culture du mercredi 26 novembre 2008 en A 010.
Il sera absent pour son cours du 3 décembre 2008.

Message de Roser Cusso (cours « sociologie de l’éducation »)

MESSAGE de Roser CUSSO aux étudiants de « Sociologie de l’éducation »
Bonjour,
Dans mon absence le mercredi 26 novembre (motif : voyage à Bruxelles avec les étudiants de mon cours M1), je vous demande d’avancer sur l’exercice sur P. Bourdieu déjà présenté en cours.

RAPPEL de l’exercice

A partir de la conclusion du livre Les Héritiers. Les étudiants et la culture (P. Bourdieu) que je vous ai distribué en cours, répondre par écrit aux questions suivantes :
1) Recenser les critiques qu’il dirige vers l’attitude, l’action, les enseignements des professeurs universitaires.

2) Recenser ses propositions en termes de pédagogie rationnelle.
3) Selon vous, a quel point ces « recommandations » et ces « critiques » sont-elles prises en compte dans la licence de sociologie à Paris 8 aujourd’hui (dans les cours, dans le cursus, dans l’accueil, dans le tutorat…) ?
4) Est-ce qu’un « supposé » manque de pédagogie rationnelle pourrait toujours expliquer l’abandon/l’« échec » des étudiants en L1 (cet abandon attend parfois 50% des étudiants) (à partir de votre expérience à l’université) ?

Sinon, quels autres facteurs peuvent expliquer cet abandon/« échec » ?
ATTENTION : Pour ceux qui l’exercice n’est pas assez clair, qui veulent améliorer leur expression écrite, etc. vous avez des TUTEURS PEDAGOGIQUES à votre disposition dans les horaires affichés dans le secrétariat !!

Prix Bigot de Morogues

Le lundi 17 novembre 2008, la prestigieuse Académie des Sciences Morales et Politiques a décerné à Patrick Gaboriau et Daniel Terrolle, anthropologue et maître de conférences au département de sociologie, le prix Bigot de Morogues. Ce prix décennal est réservé à l’auteur du meilleur ouvrage sur l’état du paupérisme en France et les moyens d’y remédier, publié dans les cinq années qui auront précédé la clôture du concours.
Cet ouvrage est SDF, Critique du prêt-à-penser que Daniel Terrolle a rédigé avec Patrick Gaboriau.
Tout le département félicite Daniel Terrolle pour ce succès !

 

Pour en savoir plus sur Daniel Terrolle :

Tutorat d’accompagnement 1er semestre 2008-2009

Des tutrices d’accompagnement sont là pour aider les étudiant-e-s de Licence (et plus particulièrement les étudiant-e-s de L1) dans la compréhension des cours, dans les questions de méthodologie, ….

Elles sont disponibles, jusqu’à la fin du 1er semestre, dans les boxes du 3ème étage (près de la salle des enseignants) aux horaires suivants :

Lundi de 13h à 15h avec Yentl,
Mercredi de 15h à 17h avec Amy,
Jeudi de 12h à 14h avec Yentl,
Vendredi de 15h à 17h avec Amy.

Cours de M.T.U. de Françoise de BARROS du jeudi 9h-12h

Le cours du jeudi 20 novembre 2008 est annulé. En conséquence, le semestre est prolongé jusqu’au 22 janvier 2009.

Offre d’emploi

L’AFIJ Ile de France organise une journée de recrutement à Paris qui aura lieu le 20 novembre 2008 de 10h à 17h à la salle Olympe de Gouges – 15 rue Merlin – 75011 Paris – Entrée Libre et gratuite. Voir fichier joint.

afij

ERASMUS, MICEFA, CREPUQ pour l’année 2009-2010

Programmes de mobilité ERASMUS (Europe) , MICEFA (Etats-Unis), CREPUQ (Québec) ou accords de coopération :

Les dossiers de candidatures pour l’année universitaire 2009-2010 (1er et 2ème semestre) sont téléchargeables sur le site du Service des relations internationales http://www.univ-paris8.fr/ri/.

Café de l’Avenir

Présentation des actions du Café de l’Avenir (insertion professionnelle des jeunes) : lundi 08 décembre 2008 à 14h30 salle D301

Dans sa mission d’aide à l’insertion professionnelle, la Coordination
des Ecoles Doctorales propose aux doctorants de participer à des
rencontres avec des professionnels de l’entreprise organisées par
l’Association « Le Café de l’Avenir ».
Ces rencontres sont organisées une fois par mois sous la forme d’un
entretien individuel d’une heure avec un représentant du monde socio
économique (chefs d’entreprise, cadres, DRH,…) et permettent aux jeunes :
– de mieux connaître le monde de l’entreprise
– de définir leur projet professionnel
– d’acquérir des méthodes de recherche d’emploi
– de développer leur capacité à se vendre

Depuis plus d’un an, nos doctorants participent à ces séances ; nous
avons conviés quelques représentants du Café de l’Avenir à venir
présenter, à l’Université de Paris 8, leur action en faveur de
l’insertion professionnelle des jeunes le lundi 08 décembre 2008 à 14h30
(salle D301).
Les étudiants de Master sont les bienvenus !

cafe-de-lavenir

Voyage d’étude en Grèce pour les étudiants de Paris 8

Le département d’histoire de l’Université de Paris 8 organise, à la mi-février 2009, un voyage en Grèce, ouvert non seulement aux apprentis-historiens, mais aussi aux étudiants d’autres départements. Le but est de permettre aux historiens en herbe de découvrir, sans l’écran des livres, le monde grec qui leur a été présenté sur les bancs de l’Université et de leur offrir le meilleur complément possible à leur foramtion tant personnelle que professionnelle. Mais nous souhaitons également faire vivre aux étudiants, venus d’autres disciplines, une expérience inoubliable. A tous nous avons à cœur de présenter non pas une Grèce, mais des Grèces : le détour par des siècles d’histoire successivement grecque, romaine, byzantine et ottomane, sera à chaque fois pour nous un moyen d’appréhender aussi la société contemporaine et d’en mieux percevoir les enjeux. C’est donc une approche résolument plurielle et multiforme que nous avons choisie : l’initiation à la Grèce d’hier et d’aujourd’hui se fera par le biais de la littérature -d’Homère à Séféris…-, de la peinture, de la musique… Même la cuisine sera sollicitée : n’est-elle pas, à elle seule, un témoignage vivant de la longue présence ottomane en pays grec ?

Voir le programme en fichier joint.
voyage-en-grece

Comment s’inscrire ? En me contactant à l’adresse suivante : brigitte.leguen@worldonline.fr

Cours Goffman de P. Paperman lundi 12h-15h

Lundi 10 novembre 2008, nous nous retrouverons pour écouter la conférence de H. Becker qui commence à 10h et se termine à 13h. Nous continuerons ensuite dans la salle habituelle de cours.
A partir du 10 novembre, nous reprendrons les deux chapitres des Rites d’Interaction qui ont été distribués en cours: « perdre la face ou faire bonne figure » et « le détachement ».