Archive for mars, 2011

Deuxième stage de terrain 2010-2011 à Fécamp

Dans le cadre de la demi-mineure “Pratique d’enquête” proposée en L3, onze étudiants ont participé durant l’inter-semestre, du 22 au 29 janvier 2011, à un stage de terrain à Fécamp, en Seine Maritime. Au cours du premier semestre, par groupe de deux ou de trois, ils ont choisi un thème d’enquête et ont élaboré un projet de recherche. Durant le stage, les étudiants et leurs enseignants (Nicolas Jounin et Claudette Lafaye, soutenus par Pierre Barron) étaient hébergés au Centre Saint Exupéry, un ancien couvent transformé en gîte communal, au sein duquel ils ont partagé repas, préparation d’entretiens, debriefing et réunions collectives de travail.

Cindy et Ilya se sont intéressées à l’Université libre et populaire de Fécamp et au public qui la fréquente. Leur travail cherche à comprendre si cette association, fondée en 2007, est d’abord un lieu de transmission de connaissances et d’échange de savoirs ou un endroit d’épanouissement et de densification des liens sociaux. Plusieurs semaines avant le stage, elles ont pris contact puis noué progressivement une relation privilégiée avec la vice présidente de l’Université populaire, devenue leur principale informatrice. Par son intermédiaire, elles ont diffusé un questionnaire auprès de la soixantaine de personnes présentes à la conférence de janvier. Outre les données quantitatives ainsi
recueillies, qui permettront d’identifier les caractéristiques socio-démographiques des participants, Ilya et Cindy ont réalisé des entretiens approfondis avec une dizaine de participants.


L’intérêt d’Ilya et Cindy pour l’Université Libre et Populaire a eu les honneurs de la presse locale (Le courrier de Fécamp du 12 février 2011), ce qui a les a conduites à préparer et gérer une interview journalistique. On les voit, ici, entourée du président et de la vice présidente de
l’Université populaire ainsi que de leur enseignante.

Claire et José ont choisi d’enquêter sur la production et la commercialisation du lin, une culture végétale industrielle, cultivée dans les départements de l’Eure et de la Seine Maritime. Au cours des 20 dernières années, la filière a été entièrement reconfigurée avec l’arrivée des acheteurs chinois sur le marché du lin. Comment les agriculteurs se sont-ils adaptés à la mondialisation de la filière ? Pour remonter la filière du lin, Claire et José ont rencontré des agriculteurs, des teilleurs, un courtier, des administrateurs et des cadres de coopératives linières.

La coopérative « Terre de Lin » a connu des restructurations conséquentes au cours des dernières décennies : issue de plusieurs fusions avec d’autres coopératives, elle rassemble cinq sites de production différents et emploie 200 salariés.
Afin de maîtriser le marché mondial du lin, elle a constitué une union avec deux autres coopératives et a recruté un directeur commercial parlant chinois.


Claire et José, avec une agricultrice, administratrice de la coopérative « Terre de lin », devant les bâtiments abritant les chaînes
de teillage et de peignage.

Aude Lore, Sakina et Ny Vohary se sont penchées sur la rénovation urbaine du quartier du Ramponneau qui bénéficie de financements de l’ANRU (Agence Nationale pour la Rénovation Urbaine). Elles s’interrogent sur les formes d’ancrage et de mobilité des habitants de ce quartier, plus particulièrement de ceux résidant dans les quatre barres vouées à la démolition. Sur le terrain, elles ont fait l’expérience des manoeuvres des différents acteurs institutionnels pour circonscrire, contrôler et limiter leurs rencontres avec des habitants… Qu’à cela ne tienne, voilà un bel objet de réflexion sociologique pour le rapport final… Quant aux habitants, les trois apprenties sociologues n’ont pas
hésité à réaliser du porte à porte pour les rencontrer ! Enfin, heureux hasard du calendrier, elles ont également pu observer une réunion de concertation rassemblant le maire, les bailleurs sociaux, l’architecte et les techniciens en charge du projet et les habitants…


Photo mystère

Aude Lore, Ny Vohary et Sakina sont en train de réaliser une observation essentielle à leur enquête. S’agit-il ? (une seule réponse possible)
-d’une réunion des habitants référents [ ]
-d’une promenade urbanistique [ ]
-d’un diagnostic en marchant [ ]
-d’une formation au « vivre ensemble »[ ]

==> Réponse, dans l’encadré, à la fin de ce compte-rendu…

Audrey et Nadège ont décidé d’explorer les controverses autour de l’implantation de parcs éoliens offshore et, pour cela, ont entrepris de mener l’enquête à Fécamp et à Veulettes, commune littorale distante d’une vingtaine de kilomètres de Fécamp. Alors qu’à Veulettes, la contestation fait rage, conduite par une association composée essentiellement de résidents secondaires, à Fécamp, c’est le calme plat… Comment expliquer et rendre compte de ce consentement ? Celui-ci masque-t-il des formes d’oppositions larvées ? Audrey et Nadège ont rencontré deux maires soucieux de l’avenir de leur commune, une parlementaire européenne enthousiaste, le président de l’association des
plaisanciers, le responsable d’une association écologiste, des pêcheurs résignés… Elles ont poursuivi l’enquête à Paris et à Neuilly…


Audrey et Nadège dans la grande maison d’un interlocuteur pro-éoliennes

Emeric et Hugues, qui sont de fortes têtes, rechignaient à choisir un sujet en relation avec le territoire local. Au début, ils voulaient décalquer localement et sur la population des 15-25 ans, l’enquête quantitative sur les pratiques culturelles des français. Comme leurs enseignants ont poliment fait la moue (pas très excitant, ce sujet…), Emeric et Hugues se sont réorientés vers l’écoute et la pratique du rap chez les jeunes de la région de Fécamp. Comment une culture musicale d’origine urbaine parvient-elle à se développer en milieu rural ? Bonne pioche : Emeric et Hugues ont non seulement administré près de 400 questionnaires auprès des lycéens des établissements public et privé de la ville, mais ils ont identifié deux scènes de rap structurées de manières très différentes à Bolbec et à Fécamp, la première autour d’une MJC et d’ateliers d’écriture, la seconde autour d’un petit studio underground.

Emeric et Hugues attendant un rappeur en retard, devant la Maison des Jeunes et de la Culture de Bolbec.

Des entretiens, des observations, ça se planifie ! A chaque binôme, sa couleur ! Le calendrier de la semaine est chargé et les enseignants peinent à suivre, parfois.

On démarre à fond de train, dès le samedi après midi, avec quatre entretiens et des repérages du quartier du Ramponneau et de la ville. Le dimanche est assez tranquille. Les étudiants préparent leurs entretiens du lundi et participent à une
réunion collective de travail. Le binôme qui travaille sur le rap part à Bolbec pour un entretien et les autres groupes visitent le musée des Terres Neuvas et les falaises d’Etretat. Le lundi est encore raisonnable, mais le rythme s’accélère dès le mardi et le calendrier devient vite
saturé. Deux groupes ne savent plus s’arrêter et poursuivront l’enquête en région parisienne.


Après une journée bien remplie, il faut encore tenir son journal de terrain, participer à des debriefings individuels ou collectifs, préparer
les entretiens du lendemain, prendre en charge à tour de rôle la préparation du repas…

On dîne rarement avant 21h ou 22h.

Au final, un stage dense, passionnant et épuisant, mais une belle moisson : 57 questionnaires auprès des participants à l’Université populaire, près de 400 questionnaires sur l’écoute et la pratique musicale des lycéens fécampois ; 60 entretiens réalisés et, bien évidemment, de nombreuses observations effectuées et une riche collecte de documents…

Clin d’œil ! A propos de documents rares et de sens de l’observation, quelle œuvre originale repèrent donc les yeux exercés d’Aude Lore, Sakina et Ny Vohary, sur « la table aux livres » de la maison de quartier du Ramponneau ? Oui, vous avez bien lu, ce jour là, Ingolf Diener côtoyait Christopher Franck, mais aussi Henri Troyat et Françoise Sagan !

Réponse de la photo-mystère : il s’agissait bien évidemment d’un « diagnostic en marchant » !

Pour en savoir plus sur cet énigmatique diagnostic et sur l’ensemble des recherches réalisées dans les trois stages de terrain comme sur le terrain local, rendez-vous au colloque de la demi mineure « Pratique d’enquête », organisé : le mercredi 11 mai 2011, de 9h à 16h, salle B106

On bosse ici, on reste ici !

Nicolas Jounin et Pierre Barron, enseignants-chercheurs au département de sociologie, sont deux des auteurs de On bosse ici, on reste ici ! La grève des sans-papiers : une aventure inédite (avec Sébastien Chauvin, Anne Bory et Lucie Tourette, publié par les éditions La Découverte en avril 2011).

Le 15 avril 2008, trois cents travailleurs sans papiers se mettent en grève et occupent leurs entreprises, en région parisienne. Ils seront bientôt des milliers. Ce mouvement est inédit : il lie un mode d’action traditionnel du mouvement ouvrier, une grève avec occupation des lieux de travail, à la revendication centrale de la lutte des sans-papiers, la régularisation. S’ouvrent alors deux années de lutte, tantôt souterraine, tantôt médiatisée, dont ce livre retrace l’histoire de façon très vivante.
Ces grèves révèlent que des pans entiers de l’économie (construction, nettoyage, restauration, confection, aide à la personne…), des petites aux grandes entreprises, du traiteur du coin aux familiers du pouvoir, de l’intérim aux ministères, reposent sur le recours à une main-d’œuvre qui, privée de titre de séjour, devient la proie et l’instrument du dumping social. En contestant cette situation, des milliers de grévistes sans papiers ont pointé les contradictions de la politique de l’« immigration choisie » promue par Nicolas Sarkozy.
Fruit d’une enquête collective, réalisé à partir d’observations directes (sur des piquets de grève, lors de manifestations, réunions, assemblées générales de grévistes…), de la collecte d’archives (tracts, dossiers de grévistes, protocoles de fin de conflit, circulaires ou notes des ministères), mais aussi d’une centaine d’entretiens avec des grévistes, des syndicalistes ou associatifs soutenant ou encadrant le mouvement, des employeurs, des agents de l’État à un niveau local et national, ce livre raconte au plus près les péripéties de ce mouvement, et en analyse les enjeux économiques, syndicaux et politiques.

L’ouvrage est feuilletable en ligne sur Calameo.com.

Pierre Barron est sociologue, il travaille principalement comme expert sur les questions de santé au travail en temps qu’expert auprès des CHSCT.
Nicolas Jounin est sociologue, il est l’auteur de Chantier interdit au public (La Découverte, 2008)

Annulation d’un cours

Le cours de Ariel Sevilla, « Lecture et traitement des catégories statistiques 2 » du mardi 29 mars 2011 de 12h à 15h n’aura pas lieu

Réouverture des inscriptions pédagogiques dans les cours du second semestre sur internet

Ce message concerne uniquement les étudiant-e-s qui ont été accepté-e-s en cours par les enseignant-e-s mais qui n’ont pas pu s’inscrire pédagogiquement sur internet. Vous êtes invité-e-s à vous inscrire pédagogiquement sur internet à partir du lundi 28 mars.
Il faut vous rendre sur votre espace personnel sur le site internet de l’université, avec votre numéro d’étudiant et votre code confidentiel.

À Paris 8, comme ailleurs !/?

La production sociologique s’idéalise comme une rupture dans les manières de penser le monde, Vincennes (ex Paris 8) promettait la rupture dans les manières de l’enseigner et de l’étudier.
Où en est-on aujourd’hui ? Que peut-on vouloir pour le futur ? A quoi, à qui sert la sociologie ? A quoi, à qui sert l’université ?
Nous avons souhaité organiser une journée, comme un temps de pause réflexif, sur ce que nous vivons et sur ce monde universitaire, dans lequel en tant qu’étudiant-e-s ou travailleurs/ses du département de sociologie, nous sommes engagé-e-s bon gré mal gré.
le 5 avril de 10h à 18h
à l’amphi D001 (bâtiment D)

Tous les cours du département de sociologie prévus ce jour-là sont annulés.

Programme

10h-12h30, Vincennes : à l’aide d’archives et d’extraits de films réalisés sur Paris 8, nous reviendrons sur le passé de l’université qui est passée de Vincennes à Saint-Denis et plus particulièrement le département de sociologie.
Documents relatifs à l’enseignement de la sociologie à Vincennes [PDF, 40p.]
12h30-14h, Déjeuner (un pot est offert).
14h-16h, « Qu’est-ce qu’on fait là ?», réflexion sur notre présent et sur les enjeux de notre département (sélections sociales, sélections scolaires, évaluations…).
16h30-18h, Perspectives : à partir d’exemples à l’étranger, et alors que le calendrier national amène les enseignant-e-s à repenser l’organisation des cursus de licence et master, nous proposons de réfléchir ensemble à ce que nous souhaitons pour la suite.

Programe de la journée Sociologie au format PDF
et
Documents relatifs à l’enseignement de la sociologie à Vincennes [PDF, 40p.]

Troisième et dernier stage de terrain de l’année universitaire 2010/2011 sur l’île de Noirmoutier

Dans le cadre de la demi-mineure “Pratique d’enquête” proposée en L 3, onze étudiants ont participé du 12 au 19 mars à un stage de terrain sur l’île de Noirmoutier (Vendée). Durant le premier semestre les étudiants, individuellement ou en binôme, avaient choisi sept thèmes d’enquête et préparé leur projet de recherche.

Camille et Clémence ont choisi de travailler sur l’histoire et le renouveau de la charpenterie maritime. Une présence quasi-permanente sur les lieux des anciens et des nouveaux chantiers navals du port de Noirmoutier-en-l’île leur a permis de réaliser de nombreuses observations et de nouer de multiples contacts aboutissant à des entretiens enregistrés ou à des conversations informelles. Signe de leur intégration à ce milieu d’interconnaissance, nombreux furent leurs “informateurs” qui assistèrent à l’apéritif que Camille et Clémence offrirent en fin de stage, dans les locaux de l’association “La Chaloupe”.


photo 1 : En fin de stage, Camille et Clémence offrent un apéritif à leurs informateurs, dans les locaux de l’association “La Chaloupe”, sur le port de Noirmoutier-en-l’île.

Partant du constat de la faible représentation des jeunes de 18 à 25 ans parmi la population de l’île de Noirmoutier, Énora et Louison ont cherché à connaître et à comprendre comment ces jeunes envisagent leur avenir, confrontés sur l’île à des emplois saisonniers peu qualifiés et à l’impossibilité de s’y loger en raison des prix exorbitants des terrains et de l’immobilier, accaparés par les résidents secondaires. À cet effet, elles ont enquêté auprès de quelques jeunes et rencontré des structures locales en charge de cette problématique.


photo 2 : Énora et Louison devant les locaux de la Maison de l’Emploi et de la Solidarité, avant une rencontre avec la directrice.

Imane a étudié à l’Épine, une des quatre communes de l’île, l’histoire sociale récente, les phénomènes identitaires et les conflits politiques, tandis que Johan cherchait à comparer les discours, les pratiques et la sociologie de deux associations locales, agréées “protection de la nature et de l’environnement”


photo 3 : Imane et Johan préparent avec Barbara un entretien auprès d’un interlocuteur commun.

Ali, Rachadi et Rodelin se sont penchés sur l’histoire de la propriété des marais salants et sur les modes d’accès, passés et actuels, aux activités salicoles, en particulier pour les femmes.


photo 4 : Ali, Rachadi et Rodelin en entretien avec le président du syndicat des 3 étiers, au bord de son marais salant

Lounis et Samir se sont intéressés aux “crises” de la pêche artisanale qui reposait jusque dans les années 1970 sur des unités familiales, et à leurs effets sur la transmission des savoir-faire et des bateaux. Grâce à leur présence sur les différents lieux de travail du port, ils ont réussi à nouer des contacts avec six patrons-pêcheurs auprès desquels ensuite ils ont obtenu des récis de vie.


photo 5 : Lounis et Samir devant les “garages” où les patrons-pêcheurs rangent leur matériel après une sortie en mer.

Au total, un stage intense (55 entretiens réalisés, sans compter les observations et la moisson de documents écrits), dans une ambiance très chaleureuse entre étudiants, ce qui a profondément réjoui les deux enseignants qui encadraient ce travail, Barbara Casciarri et Michel Samuel (dont c’était “la dernière séance”).


photo 6 : Barbara Casciarri et Michel Samuel, au sortir du repas offert par les étudiants, le dernier jour du stage.

Atelier de traduction : Jeux animal, subjectivité érotique et stigmates

La traduction réalisée par Maryne Luciani de l’article de Colin Jerolmack [2009. “Humans, Animals, and Play: Theorizing Interaction When Intersubjectivity is Problematic.” Sociological Theory 27(4): 371-389] est maintenant en ligne sur le site de la revue Sociological Theory de l’American Association of Sociology.
« Humains, Animaux et jeu : Théorisation de l’interaction lorsque l’inter-subjectivité est problématique. » Lien vers le fichier PDF.

Les auteurs de deux autres articles ont donné leur accord de reproduction :

1- Don Kulick, pour son « Introduction / La vie sexuelle des anthropologues : la subjectivité érotique dans le travail ethnographique. » de l’ouvrage Taboo: Sex, Identity, and Erotic Subjectivity in Anthropological Fieldwork Le texte a été traduit par Frédéric Haon et publié (en février 2012, dans la revue « Genre, sexualité & société »)

2- Bruce G. Link et Jo C. Phelan « Conceptualizing Stigma » Annual Review of Sociology, 2001, Vol. 27: 363-385. Traduit par Pauline Jacquin, sous le titre « Conceptualiser le stigmate ». lien vers la traduction au format PDF (Translated by Pauline Jacquin and posted with permission from the Annual Review of Sociology).

Annulation d’un cours (lundi 21/3/2011)

Le cours de Pratique de Terrain : Entretien
le lundi de 18 à 21 heures assuré par Nicolas KAPLAN est annulé aujourd’hui
Lundi 21/03/2011.

Rattrapages des cours de Françoise de Barros

– Le cours de question de sociologie « sociologie de l’administration » supprimé le 9 mars 2011 est rattrapé ce samedi 26 mars 2011 de 9 à 12h00 au bâtiment D en salle D002.
– Le cours « Décrire la société française » supprimé le 9 mars 2011 est rattrapé le samedi 30 avril 2011 de 9 à 12h00 au bâtiment A dans l’amphi A2;
– Le cours « Décrire la société française » supprimé le 10 mars 2011 est rattrapé le samedi 30 avril 2011 de 13 à 16h00 au bâtiment A dans l’amphi A2.

Atelier d’anthropologie urbaine

Daniel Terrolle, anthropologue et maître de conférences au département de sociologie, co-organise un « Atelier d’anthropologie urbaine ». Le 7 avril, il recevra Christophe Blanchard : « Les jeunes en errance accompagnés de chiens : un binôme prisonnier dans la cité ».
Programme et plus d’informations dans ce fichier PDF

Florence Bouillon sur France Culture

L’émission “A plus d’un titre”, sur France Culture, a reçu lundi dernier Florence Bouillon, maîtresse de conférence au département de sociologie de l’université Paris 8.
L’émission est disponible en ligne à l’adresse suivante :
http://www.franceculture.com/emission-a-plus-d-un-titre-litterature-jean-pierre-milovanoff-essais-florence-bouillon-2011-03-07.ht

Copies et notes, cours de Camille Peugny

Les étudiants ayant suivi les cours de Camille Peugny au premier semestre pourront venir consulter et récupérer leurs copies le vendredi 11 mars de 11h à 11h45 ou le jeudi 17 mars de 14h30 à 15h.

Absence de Françoise de Barros les 9 et 10 mars 2011

Pour des raisons de santé, Françoise de Barros n’assurera pas ses cours cette semaine.
En conséquence, sont annulés les cours de :
– « Décrire la société française » le mercredi 9 mars 2011 de 18 à 21h00 ;
– « Décrire la société française » le jeudi 10 mars 2011 de 12 à 15 h00 ;
– « Sociologie de l’administration » le mercredi 9 mars 2011 de 12 à 15 h00.
Dans les 2 cours de « Décrire la société française », les inscriptions sont closes. Ne seront admis que les étudiants déjà inscrits ou qui ont reçu par mail une confirmation de leur inscription. Par ailleurs, le travail à rendre le 9 ou le 10 est reporté à la semaine suivante.
Dans le cours « Sociologie de l’administration », des places sont encore disponibles : les étudiants souhaitant s’inscrire sont invités à contacter Françoise de Barros par mail.

Emploi du temps 2ème semestre

Introduction à la méthode et au cursus universitaires de Marie Auffray-Seguette
Un nouveau créneau est créé pour ce cours au 2nd semestre, le mercredi de 15h à 18h. L’enseignante est Marie Auffray-Seguette.
Inscription directement en se rendant au cours.

Pratique du terrain – Observation de Marie Mathieu
Suite à une erreur, il n’apparaît pas dans la nouvelle brochure mais il est maintenu le Jeudi de 15h à 18h.
Inscription directement en se rendant au cours.

Question de sociologie 3 et 4 et Grands courants de la sociologie 2 (Magdalena Brand et Marie Mathieu)
Le cours du lundi matin (9h-12h) est celui de Question de sociologie 3 et 4 : Genre et Mondialisation (Magdalena Brand).
Celui du lundi après midi (15h a 18h) est celui de Grands courants de la sociologie 2 : Féminisme matérialiste et perspectives actuelles en études genre (Marie Mathieu).

Question de Sociologie 1-2 : Inégalités et classes sociales dans la France contemporaine de Camille Peugny
Le cours de Question de Sociologie 1-2 : Inégalités et classes sociales dans la France contemporaine de Camille Peugny a lieu le JEUDI de 15h à 18 heures (et non le vendredi).

Anthropologie historique : route de la soie et Anthropologie politique : Systèmes de pouvoir de Didier Gazagnadou
Les EC Domaines Anthropologie 1 et 2 : Anthropologie historique : route de la soie et Anthropologie politique : Systèmes de pouvoir de Didier Gazagnadou ont lieu au MUSEE du QUAI BRANLY.

American Sociology : Social Changes In The Cities de F. Truong
Le cours American Sociology : Social Changes In The Cities dispensé par F. Truong au 2ème semestre (jeudi 9h-12h) peut être validé comme Question de Sociologie 3, Question de Sociologie 4 ou EC libre dans les fondamentaux.

American Sociology : Social Changes In The Cities

Le cours American Sociology : Social Changes In The Cities dispensé par F. Truong au 2ème semestre (jeudi 9h-12h) peut être validé comme Question de Sociologie 3, Question de Sociologie 4 ou EC libre dans les fondamentaux.
Voici un descriptif de ce cours :

This course will present how, since the beginning of the XXth century, life in the cities has become one of the most important topic in American sociology and has changed the way Sociologists worked and thought.
Through the outgrowing urban life, sociology has discovered many stages of social changes (regarding interactions, social structure, deviance and social control, ethnic relationships, spatial structure and territorial discriminations…)

Each session will be centered on a critical reading of a founding sociological text and of an analysis of a short movie extract. Each text has been chosen for its particular contribution in the history of urban contemporary sociology. The illustrative movie extract will then be discussed and deconstructed through a sociological eye.

American Sociology- The lessons