Infos étudiants Archive

Daniel Terrolle au Bistrot des Ethnologues

Le Bistrot des Ethnologues de Montpellier, en ouverture de la saison 200-2006, accueille Daniel Terrolle, anthropologue, maître de conférences au département de sociologie de l’université Paris 8. Le thème de la conférence-discussion : « L’escamotage des plus démunis. Ethnologie des sans abris » [au Sax’aphone – rue Ernest Michel, Montpellier, à 20h30, mardi 8 novembre]
De Daniel Terrolle, sur le site du département de sociologie, vous pouvez lire : « La mort des SDF à Paris : un révélateur social implacable [PDF] », Etudes sur la mort, L’Esprit du temps, 2002, n°122, 55-68.

Le Bistrot des Ethnologues, depuis sa création en 1993, a accueilli plus d’une centaine d’universitaires à venir présenter leurs recherches.

Recrutements

Le département de sociologie recrute actuellement un-e professeur-e de sociologie et deux maître-sses de conférences.

Un poste profilé sociologie de l’éducation et approches quantitatives
N° de l’emploi : 0164 – Nature de l’emploi : MCF – Section CNU : U1900
Situation de l’emploi : susceptible d’être vacant.
Nature du concours (PR ou MCF) (se reporter aux articles 46 et 26 du décret N°84-431 du 6 juin 1984 modifié) : 26-I-1
Profil : sociologie de l’éducation et approches quantitatives
Enseignement : Licence de Sociologie ; Master de Sociologie ; Renforcement de l’encadrement méthodologique et des enseignements fondamentaux dans la discipline, initiation à la recherche dans le champ de la sociologie de l’éducation

Un poste profilé sociologie urbaine et migrations
N° de l’emploi : 0370 – Nature de l’emploi : MCF – Section CNU : U1900
Situation de l’emploi : susceptible d’être vacant.
Motif de la vacance : promotion Nature du concours (PR ou MCF) (se reporter aux articles 46 et 26 du décret N°84-431 du 6 juin 1984 modifié) : 26-I-1
Enseignement : Licence de Sociologie ; Master de Sociologie ; Renforcement de l’encadrement méthodologique et des enseignements fondamentaux dans la discipline, initiation à la recherche dans les champs suivants : sociologie urbaine et migrations. Participation au master : relations euro-méditerranéennes, monde maghrébin. Renforcement du pôle recherche en Sociologie générale, sociologie urbaine et migrations, en relation avec la MSH Nord de Paris

Un poste de professeur-e de sociologie, non profilé
N° de l’emploi : 1049 – Nature de l’emploi : PR – Section CNU : U1900
Situation de l’emploi : susceptible d’être vacant.
Motif de la vacance : départ à la retraite (surnombre)
Nature du concours (PR ou MCF) (se reporter aux articles 46 et 26 du décret N°84-431 du 6 juin 1984 modifié) : 46-1
Profil pour publication au Journal Officiel : sociologie
Enseignement : Licence de Sociologie ; Master de Sociologie ; Doctorat ; Renforcement de l’encadrement méthodologique et des enseignements fondamentaux dans la discipline, direction de recherche dans les champs suivants : travail ; politiques sociales, droit et citoyenneté ; modes de vie et transfert culturel.

Dans les trois cas :
Laboratoire d’accueil
E.D. 401 Sciences Sociales
CSU (Cultures et Sociétés Urbaines) UMR 7112
GERS (Genre et Rapports Sociaux (UMR 7111)
GRASS (Groupe de Recherche et d’Analyse du Social et de la Sociabilité ) UMR 7022

Contacts : Guy Briot courriel : gbriot@univ-paris8.fr
Site internet : http://www2.univ-paris8.fr/sociologie

Calendrier

31 octobre 2005 : clôture des inscriptions des candidats auprès des établissements

En ce qui concerne les candidats aux postes de sociologues à Paris 8 retenus par la commission de spécialistes :

lundi 21 novembre: auditions aux postes de Maîtres de conférences
    8h30-12h30 poste 0370 ‘Sociologie urbaine et migrations » ,
    14h- 17h poste 0164 S « sociologie de l’éducation et approches quantitatives »

mardi 22 novembre, 9h30- 12h30: auditions pour le poste de Professeur « sociologie n° 1049 »

8 décembre 2005 : fin des opérations de classement des candidats par les établissements

13 décembre 2005 à 10 heures : ouverture du module ANTARES/ANTEE permettant aux candidats d’exprimer leurs voeux d’affectation

19 décembre 2005 à 16 heures, heure de Paris : date limite de saisie des voeux d’affectation des candidats sur ANTARES/ANTEE (attention, les voeux exprimés par courrier ne pourront pas être pris en compte)

22 décembre 2005 au plus tard : publication des résultats sur ANTARES/ANTEE

inscriptions M1 et M2 sur internet

Les inscriptions aux séminaires du Master 1 et Master 2 sont ouvertes du mercredi 12 octobre au mercredi 19 octobre. Les étudiants doivent passer par le site de l’université, « espace scolarité étudiant ». Les étudiants doivent aussi faire une inscription pédagogique au secrétariat du Master dès qu’ils auront leur carte d’étudiant.

Arrivée d’une nouvelle secrétaire

Josette Desvois vient renforcer le secrétariat de sociologie. Elle vient de l’UFR5 (Langues) où elle avait travaillé trois ans. Elle sera au bureau 349, où elle s’occupera de la licence de sociologie (avec N’Galam Sow) et de la mineure Anthropologie.

Jean-François Laé sur France Culture

France Culture, Samedi 1er octobre 2005, 15h-17h
Emission « Radio libre »Qu’est ce que chômer veut dire ?
écouter l’émission (format RealMedia .rm)

Par Jean-François Laé, professeur de sociologie à l’université Paris 8.

Comment articuler le quotidien lorsqu’on vit le chômage comme une trahison ? Que dire quand on a plus grand chose devant soi ? Ces femmes étaient venues loger tout près de l’entreprise qui devait leur donner labeur toute une vie durant. Juste le temps de rembourser les annuités de l’emprunt du pavillon ou de l’appartement, le temps que les enfants grandissent. Mais il ne reste plus qu’un temps présent percé de pannes, de plaintes, d’intermittences, de culpabilité. Rien n’est plus coercitif que le chômage. Sans grimacer, elles nous disent cet écart, un ordinaire menacé ou au mieux, « on ne les regarde pas » ou alors comme des « manque à pas de chance ».
Comment entendre la parole de ceux qui ont perdu? Comment prendre le temps de saisir les méandres de leur blessure anonyme, silencieuse, sans visage, sans œuvre, sans réserve. Ils ( elles) sont dans la société, mais non de la société puisque nous ne les entendons pas: les chômeur(e)s.

Avec de nombreux témoignages de chômeuses et chômeurs de l’Oise. Avec le concours de messieurs Jean-Marc Vermorel, Pascal Jacobée, madame Escaffre de l’ANPE de l’Oise, le personnel de l’Agence Picasso de Creil, Gaby Huet et Bernard Callens du syndicat CFDT, Mme Kazi de la Direction du travail de Beauvais, l’association cycliste d’Estrée Saint Denis, enfin de Franck Magloire, par les extraits de « Ouvrière. récit », aux éditions de l’Aube.
Texte lu par Simon Duprez.
Réalisation : Marie Ange Garrandeau

Début des cours de Mr Weckerlé

Christian Weckerlé débutera ses cours : Genèse de la Discipline, le Vendredi 21 octobre ; et Sociologie de la Communication, le Lundi 24 octobre.

Jury de Deug septembre 2005

Le jury de Deug s’est réuni le 21 septembre sous la présidence de Véronique Petit

Liste des étudiants déclarés admis

ACHECHOUR SABRINA

BELLILI SONIA

BEN OUADA OULFA

BERTRAC DANIELLA

COUTOULY SOPHIE

CRENN FLORENCE

DUPONT AGNES

FETTOUM HAKIMA

GAILLARD ALEXANDRE

GERMAIN STANLEY

HANDOUALI HOUAIDA

KEITA FATOUMATA

KRAFFA DESIRE JACOB

LABORDE LAETITIA

MAHBOUB YAMNA

MAIZIERE PERRINE

NICOLLEAU GREGORY

PAUSICLES JOHANY

PERROT CAMILLE

SOUICI AICHA

TALLET ERIC

TAVARES FRANCISCA

TOSSOU KOSSIVI

PS : Les étudiants déclarés admis peuvent retirer un récépissé de diplôme au bureau G113, Tel : 01.49.40.64.50

Claire Lévy-Vroelant dans Le Monde

Le quotidien Le Monde publie aujourd’hui un éditorial de Claire Lévy-Vroelant, professeure de sociologie à l’université Paris 8 (Vincennes – Saint-Denis).

Logement social : une crise de l’Etat de droit, par Claire Lévy-Vroelant
LE MONDE | 13.09.05 | 13h23 • Mis à jour le 13.09.05 | 13h23
Point de vue

Les récentes catastrophes survenues dans les hôtels parisiens provoquent une irrépressible impression de déjà-vu. Ces drames s’inscrivent dans une longue série, dont les victimes sont presque toujours des étrangers ou des Français issus depuis peu de l’immigration.
Souvenons-nous de l’incendie, le 25 août 1989, à l’Hôtel Royal, à Clichy-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) : huit personnes y avaient trouvé la mort. Il fut suivi par la création de résidences sociales, sous l’impulsion de Louis Besson, mais pauvres et immigrés logés dans l’habitat précaire ont continué à voir leurs conditions de vie s’aggraver. Que l’on relise les articles de l’époque : à quelques chiffres et termes près, les constats sont aujourd’hui, désespérément, les mêmes.

Faut-il conclure à la fatalité du « mal-logement », monstre auquel sont régulièrement sacrifiées des vies innocentes, particulièrement d’enfants et de gens de couleur ? Pourtant, les contextes et les acteurs changent. Vers 1930, les garnis et hôtels de la capitale logeaient 11 % de la population parisienne. A l’époque et jusqu’aux années 1960, l’arrivée en ville passait par un hébergement plus ou moins durable mais jamais définitif, à l’hôtel ou en meublé. La différence avec le logement ordinaire n’était alors pas flagrante. Lois et règlements étaient interprétés dans un esprit de large tolérance par les inspecteurs. Les consignes officielles y invitaient de façon répétée (en cela rien n’a changé). On vivait en garni ou à l’hôtel, mal nécessaire mais porte d’entrée, en attendant mieux.

Le développement démographique de la capitale était alors rapide. Les migrants de l’intérieur (puis de l’étranger) devaient y trouver leur place. Ce n’est plus le cas depuis plusieurs décennies. Ce qui reste du secteur environ 900 hôtels, contre plus de 20 000 au début des années 1930 ! constitue à présent la résidence des exclus du logement ordinaire, sans espoir d’en sortir pour la plupart. De tremplin, l’hôtel ­ insalubre ou pas est devenu cul-de-sac.

La composition de leur population s’est fortement modifiée. Essentiellement constituée dans les deux décennies qui ont suivi la seconde guerre mondiale de jeunes ouvriers (et de familles, en nombre limité), elle compte de plus en plus d’immigrés âgés et de familles originaires d’Afrique subsaharienne. De l’Hôtel du Nord et ses semblables ne reste que le souvenir cinématographique.

En cédant leurs immeubles à des marchands de biens, les propriétaires renoncent à une source de revenus médiocre et échappent à de coûteux travaux. Les hôtels tombent dans le parc privé et sont perdus comme logement des plus démunis. Les profits spéculatifs qui résultent de leur rachat par un promoteur privé sont d’autant plus élevés que l’immeuble est vide. On comprend mieux, du coup, comment certains propriétaires sont « amenés » à laisser les locaux se dégrader sur place, voire à procéder à des coupures d’eau et d’électricité… La dégradation des hôtels n’est pas uniquement le résultat inéluctable d’une gestion à court terme des gérants. Elle résulte du marché immobilier et d’acteurs qui s’y positionnent dans un contexte très libéral.

Les tenanciers, aussi, ont changé. De statut purement privé (commercial), l’hôtel s’est vu paradoxalement reconnaître un rôle social à mesure que les pouvoirs publics « découvraient », poussés par tel ou tel incendie mortel, le « drame de l’habitat insalubre ».

Deux types de réponses ont été successivement donnés. A partir de la fin des années 1960, on facilite les expropriations pour cause d’utilité publique et on crée une offre de logement spécifique : les foyers. L’habitat insalubre, bidonvilles inclus, ainsi « résorbé », des lendemains radieux s’ouvraient pour tous (ou presque). Neuf millions de logements sont construits de 1954 à 1975. Avec ses défauts, la production était devenue quantitativement satisfaisante. Ce n’est plus le cas, tant s’en faut.

Deuxième réponse : dans les années 1980, le logement est entré dans les politiques sociales. Aux objectifs quantitatifs (combien de logements nécessaires ?), on a substitué des objectifs qualitatifs : le logement des « personnes défavorisées » est devenu un programme, qui génère l’invention de nouveaux « produits logements », généralement temporaires et de qualité inférieure. L’aggravation de la pénurie a poussé les pouvoirs publics à multiplier les hébergements durables et d’urgence.

Tout se passe comme si les politiques avaient renoncé à offrir des logements à des prix correspondant aux possibilités des demandeurs. Ainsi, plus le droit au logement se voyait renforcé dans la loi, plus il devenait aléatoire dans la réalité.

Depuis les années 1990, l’intervention publique, dans ses dispositions législatives (loi Besson de 1990, loi d’orientation pour la ville (LOV) de 1991, loi de lutte contre les exclusions de 1998, loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains (SRU) de 2000), pose comme priorité non plus la satisfaction de besoins en termes quantitatifs, mais l’accès des populations « défavorisées » à un logement « décent » . De garant de l’accès à l’habitat pour tous, l’Etat devient hébergeant, déléguant une partie de ses fonctions aux compétences des associations et au bénévolat.

L’ensemble des dispositifs aurait dû assurer le droit au logement. Il n’en est rien. A-t-on pris la mesure du dysfonctionnement qui s’exprime dans la formule utilisée pour décrire le logis des victimes des incendies récents : « hébergement de fortune payé par l’Etat pour des familles précaires et immigrées » ? Une proportion proche des 40 % : telle est la part des chambres d’hôtel « réservées », financées par les pouvoirs publics et leurs relais associatifs, pour loger les « populations incasables », à des prix très supérieurs au « marché » et dans des conditions souvent mauvaises.

Par ailleurs, des dizaines de milliers d’appartements sont vacants en Ile-de-France. Qu’on ne s’étonne pas, dès lors, de la multiplication des squats et logements irréguliers, lesquels sont connus et tolérés, faute de « solution de relogement », par les services sociaux, les associations et les services préfectoraux.

Le mouvement récent des travailleurs sociaux, en Ile-de-France, montre que la multiplication des solutions précaires et provisoires coûte non seulement très cher mais a atteint ses limites. Au passage, il devient difficile de noyer dans l’opprobre général les « marchands de sommeil », alors qu’une bonne part des hôteliers parisiens font leur travail honnêtement, dans des conditions difficiles, et que des associations reconnues et financées par l’Etat gèrent massivement ce type de structures.

Tous travaillent sur le fil du rasoir. Coincés entre l’injonction à secourir et l’interdiction de loger « clandestins » ou « surnuméraires », entre le respect des normes de sécurité et les blocages de tous ordres, ils pratiquent volens nolens la politique de la « patate chaude » : l’art de se débarrasser des cas « insolubles ».

Accentuation du traitement social du logement par l’Etat et fonctionnement quasi sauvage du marché, émergence de nouveaux bailleurs privés et publics de logements temporaires et d’hébergement, complexification des missions des collectivités locales et accroissement de leurs responsabilités, mobilisation publique réduite aux associations de droit au logement, tels sont les principaux éléments du changement.

Au-delà des drames irréparables, l’impuissance durable des politiques constitue un dangereux abcès de fixation dont les conséquences dépassent de loin les quelques milliers de familles qui errent de taudis en taudis. Dans son 8e rapport (2004), le Haut Comité pour le logement des personnes défavorisées dénonce une crise aux caractéristiques nouvelles : « La crise du logement est aussi une crise de l’Etat de droit. » L’enjeu est aussi simple et vaste que cela.

L’impossible relogement des familles, vivant à l’hôtel ou dans des logements de fortune, remet en cause l’ensemble des pratiques actuelles. La solution passe par la construction massive de logements abordables et la mise en oeuvre fermement dirigée de la solidarité nationale. Reste à réfléchir sur les innovations nécessaires en matière de partenariats public-privé, de conception architecturale, de modes de financement. Sans oublier d’écouter les habitants meilleurs experts de leur propre existence. Questions hautement politiques. Faute d’y trouver des réponses, de nouveaux drames seront à déplorer.

Claire Lévy-Vroelant est professeur de sociologie à l’université Paris-VIII – Saint-Denis, chercheuse au Centre de recherche sur l’habitat du CNRS.

Article paru dans l’édition du 14.09.05

Inscription en doctorat

note : Voir aussi la page Doctorat du département de sociologie (procédure d’inscription, directeurs de thèse, laboratoires d’accueils, thèses récentes).

Informations sur la gestion administrative des doctorants et sur les procédures d’admission rentrée 2005.

Le renforcement de l’encadrement administratif des écoles doctorales a été considéré comme une des priorités du contrat quadriennal. Aussi a-t-il été convenu, dans le cadre de la réorganisation de l’adossement administratif, de créer des secrétariats d’écoles doctorales qui auront, entre autre, en charge l’admission et la gestion des dossiers des doctorants.

Dans l’attente de leur mise en place, c’est la Coordination des écoles doctorales assistée des gestionnaires du Bureau des diplômes qui assurera l’admission des doctorants pour toutes les formations.

Dès cette rentrée, les admissions en première année de doctorat ainsi que les dérogations à partir de la 4ème année feront l’objet d’une procédure informatisée.

La mise en place de cette application a été proposée par la Coordination des ED en concertation avec le Bureau du Conseil
scientifique, les directeurs des ED, le Service de la scolarité et le Service informatique.
Elle devrait constituer une amélioration pour les doctorants dont les démarches se trouveront simplifiées puisque regroupées au sein d’un secrétariat unique qui se chargera du recueil des signatures des directeurs de thèses et de celles des directeurs d’ED.
Elle présente aussi l’avantage d’avoir été développée à partir de la base de données de la scolarité centrale, donc de disposer d’informations unifiées et de permettre le suivi individualisé des doctorants.

Les candidats à l’admission ou en situation de demande de dérogation devront se présenter ou contacter la Coordination à partir du 15 octobre pour obtenir un code confidentiel d’accès à l’application informatisée. Pour une première admission, le candidat devra avoir contacté un directeur de recherche et présenter l’accord préalable de celui-ci.

La salle informatique de la recherche, située en A 2276 à coté de la Coordination, sera mise à leur disposition durant la période d’inscription (17 octobre au 30 novembre). Il est prévu un accès par Internet pour les étudiants résidant à l’étranger ou en province qui ne peuvent se rendre à l’Université.

Le descriptif détaillé de la procédure informatisée a été mis en ligne sur le site de l’Université – rubrique Scolarité – et sur le site de la Recherche et des études doctorales rubrique: services aux étudiants.

Par avance, je vous remercie de bien vouloir relayer cette information auprès de vos collègues et de diriger les étudiants concernés vers notre service.

Marie-Christine Lamiche

Marie-Christine Lamiche
Coordination des Ecoles doctorales
Tél. : 01.49.40.70.53
Fax : 01.49.40.70.41

Licence : réunions d’information obligatoires

Rentrée 2005-06

Vous venez de vous inscrire administrativement en Licence de sociologie – anthropologie (L1). Avant de procéder à votre inscription pédagogique (inscription dans les cours), deux réunions d’information sont prévues (salle B332).

Vendredi 23 septembre 2005 à 10h
Mardi 27 septembre 2005 à 14h

N.B : Vous êtes invités à venir retirer la brochure et l’emploi du temps au bureau B 348 : les lundi, mardi, mercredi, vendredi de 14h à 16h.

Bonne rentrée.

Examens 2ème session Deug

Les salles seront indiquées le jour de l’examen

Barthélemy – Textes grandes enquêtes de terrain 13/09 à 14h

Béliard- Débat 2 13/09/ à 09h30

Biheng – Lecture grandes enquêtes par questionnaire

Bonici – Travail de terrain 13/09 à 16h30

Bordiec- Domaine : jeunesse 16/09/ à 16h30

Bosc – SFC 16/09 à 11h30

Coulmont- Initiation à la sociologie 12/09/ à 10h

Davault – Travail de terrain 13/09 à 9h

Grumbach- Analyse de contenu

Hénaut- Statistiques 13/09 à 16h30

Huyard- Statistiques/ textes grdes terrain 13/09/ à 10h
Pré inscription obligatoire auprès de M. Sow

Joubert- La santé

Kadri – Travail de terrain

Laé- Observation

Lafaye – Entretien

Lévy-Vroelent- Domaine : la ville 20/09 à 10h30

Linossier- Débats I 16/09 à 11h30

Milova – MTU/ Enquête par questionnaire 12/09 à 16h

Paperman- Observation 16/09 à 16h30

Peretz – Domaines / textes de langue anglaise 14/09/ à 14h

Petit- Démographie 13/09/ à 11h30

Samuel – Domaine : Meillassoux

Sauvadet-Lecture grandes enquêtes par questionnaire 19/09/ à 14h

Siracusa -Lecture grandes enquêtes par questionnaire 14/09/ à 11h

Soulié / Gagneux – Lecture grandes enquêtes par questionnaire
CSD 14/09/ à 13h

Trat – Rapports hommes femmes 14/09/ à 14h

Trat – Travail de terrain 15/09/ à 9h30

Rattrapages examens licence/maîtrise

LICENCE – MAITRISE – DATES DES EXAMENS SECOND SEMESTRE (2)
SESSION DE SEPTEMBRE

Enseignant / Date Heure / RdV Semestre

PAPERMAN
LUNDI 19 SEPT 14H
B 332 2

SIRACUSA
MERC 14 SEPT 11H
B 332 stat 2

SOULIE
MERC 14 SEPT 13H
B 332 2

GRUMBACH
MARDI 13 SEPT 10h
B 332 stat 2

BOSC
MERC 14 SEPT 11H30
B 332 2

PERETZ
MERC 14 SEPT 14H
B 332 2

COULMONT
LUNDI 12 SEPT 14H
B 332 2

WECKERLE
MERC 21 SEPT 14H
B 332 2

LAFAYE
JEUDI 15 SEPT 10H
B 332 2

LOMBA
MARDI 13 SEPT 9H
B 332 2

PETIT
MARDI 13 SEPT 9H
B 332 2

Départs

Aïssa Kadri, qui était maître de conférences au département de sociologie de l’université Paris VIII et directeur de l’Institut Maghreb-Europe a été élu professeur à l’université d’Orléans où il enseignera à partir de septembre 2005.
Henri Peretz, maître de conférences, a fait valoir ses droits à la retraite, de même que Michel Meyer, maître de conférences, Serge Bosc, PRAG, et Jean-Claude Combessie, professeur.
Pour l’année scolaire 2005-2006, Patricia Paperman, maître de conférences, sera en « délégation CNRS »

Licence et master : présentation et dates des réunions

Les présentations de la licence de sociologie et du master de sociologie sont disponibles :
Présentation complète du master (pdf) (Ne pas oublier de consulter les Conditions d’accès au master de sociologie)
Présentation complète de la licence (pdf, 30 pages)

Réunion d’information pour l’inscription en licence
Premières réunions d’information, pour les étudiants s’inscrivant en L1 :
Salle B 332 –
Vendredi 8 juillet 2005 à 10h
ET mardi 12 juillet 2005 à 14h30

Une réunion d’information sur le Master
Les étudiants souhaitant des informations sur le master de sociologie sont invités à une réunion le Mercredi 15 juin 2005 à 15h – RdV salle B 336. Une présentation du master en sociologie est disponible, ainsi qu’une présentation du Master Pro : Conseil en organisation et conduite des innovations sociales.

Informations « rentrée » Master de sociologie

Informations concernant la rentrée
Le début des cours est celui affiché dans le calendrier de l’université.
– réunion d’accueil, dans lesquelles les étudiants admis prendront contact avec leur directeur de recherche ? la séance d’accueil
    des étudiants inscrits en master 1 : le 5 octobre à 16h
    des étudiants inscrits en master 2 : le Jeudi 13 octobre 13h –15h avec les enseignants et les labos associés puis 15h- 17h à 59 rue Pouchet 17° (la salle sera indiquée sur le tableau blanc dans le hall en principe salle 124).
présentation complète du master de sociologie (brochure de 50p. au format PDF)

Permanence des enseignants
IMPORTANT, OBLIGATOIRE :
– chaque étudiant qui était déjà inscrit en maîtrise ou en master dans l’année universitaire 2004-2005 et qui n’a pas obtenu son diplôme doit passer rencontrer un enseignant aux permanences pour remplir sa grille d’équivalence d’EC et connaître les conditions à remplir pour obtenir son diplôme.
– Ces permanences ont aussi pour objectif de discuter avec les étudiants qui le souhaitent de leurs projets de recherche qui doivent donc dans ce cas rencontrer un enseignant au tout début des permanences. Une feuille d’inscription de rendez -vous est affichée au 3° étage du bâtiment B pour que vous puissiez vous inscrire. Une priorité sera donnée à ceux qui seront inscrits.

Voici la liste des permanences :

Jean-Pierre Briand
    Lundi 5 septembre 10h-12h

Régine Bercot
    Mardi 6 septembre 9h45-12h

Tiphaine Barthélémy
    Mardi 6 septembre 14h 15-16h45

Claire Levy Vroelant
    Mercredi 7 septembre 10h15- 12h30

Michel Joubert
    Mercredi 7 septembre 14h15-16h45

Jean François Laé
    Jeudi 8 septembre 14h 15-17h

Charles Soulié
    Vendredi 9 septembre 13h45- 17h

Michel Joubert
    Lundi 12 septembre 9h30 –12h30

Véronique Petit
    Mardi 13 septembre 9h30 –12h30

Régine Bercot
    Mardi 13 septembre 15h-17h

Jacques Siracusa
    Mercredi 14 septembre 13h30-17h

Josette Trat
    Vendredi 16 septembre 9h30-11h30

Corinne Davault
    Mardi 20 septembre 13h- 14h30

Claire Lévy-Vroelant
    Mardi 20 septembre 10h- 16h

Info pour les jurys de niveau M 1

Deux sessions, dépôt des dossier au 1 juillet, ou au 16 septembre pour les étudiants
Attention les étudiants doivent :
– avoir soutenu leur mémoire de maîtrise le 15 septembre au soir s’ils veulent candidater en M2 et
– avoir déposé leur mémoire, leur projet et leur dossier complet (disponible au secrétariat).

Pour le premier jury M1 et M2 session de juillet :

Les étudiants devront avoir déposé leur dossier avant le 1er juillet. Les enseignants comme les autres années passent regarder les projets, contactent les étudiants pour leur demander éventuellement de modifier leurs projets.

Jury Enseignants : Le 7 juillet à 14h pour les étudiants demandant une équivalence

– Pour le deuxième jury M1 session de septembre
Dépôt des dossier avant le 16 septembre.

Jury de niveau M2 Recherche

Première session
– Date limite pour les étudiants (dépôt des dossier le 1 juillet ).
– Réunion des enseignants du M2 en jury d’admission le 7 juillet à 16h .

Deuxième session
– Date limite pour les étudiants (dépôt de dossier) avant le 16 septembre.
– Réunion des enseignants du M2 en jury d’admission le 23 septembre à 14h
– Les étudiants sont susceptibles d’être auditionnés le vendredi 30 septembre à partir de 10h si leur projet de recherche peut être accepté mais moyennant des modifications qui devront être faites.

Au terme de ces commissions certains candidats seront admis définitivement, d’autres invités à représenter leur projet.

Félicitations aux bacheliers futurs étudiants

Félicitations aux nouveaux bacheliers et aux futurs étudiants de Paris VIII !
Les personnes souhaitant s’inscrire en licence de sociologie sont invitées à assister à une réunion d’information, vendredi 8 juillet à 10h ou mardi 12 juillet à 14h30.
Premières réunions d’information, pour les étudiants s’inscrivant en L1 :
Université Paris 8 – Bâtiment B – salle 332
Vendredi 8 juillet 2005 à 10h
ou mardi 12 juillet 2005 à 14h30

Femmes et violences

L’IME (Institut Maghreb Europe, Paris8) et le GTM (Genre Travail Mobilités, CNRS/ Paris8/Paris10)

Organisent Samedi 25 juin 2005 une journée d’études à l’Université Paris VIII (Vincennes à Saint-Denis)
(Métro ligne 13 Saint Denis université, Salle C008)

FEMMES ET VIOLENCES

Le matin
Présidence: Aïssa KADRI, Directeur de l’Institut Maghreb-Europe

9h- 9h 20 Nasséra MERAH, doctorante IME-Paris 8: «Discours sur les droits des femmes dans l’histoire contemporaine de l’Algérie»
9h20 – 9h40 Nadia AGSOUS, doctorante IME-Paris8: «La violence symbolique : de la domination masculine dans le Code de la famille»
9h40 -10h Laila HAMILI: doctorante à l’EHESS: «Les femmes Marocaines issues des classes populaires et la Moudawana»

Débat – Pause

10h30 – 10h50 Marguerite ROLLINDE, chercheure IME-Paris8: «Femmes et prison au Maroc»
10H50 -11h10 Berkaoum FERHATI, chercheure CNRPAH, Alger: «La lutte contre l’excision au Soudan. Entre politique volontariste, résistance sociale et globalisation»
11h10 -11h30 Christelle HAMEL, chercheure INED: «Rapports sociaux de sexe, rapports sociaux racistes: l’exemple des tournantes»

Débat – Repas

L’après midi
Présidence: Mourad Yelles, M.C. Université d’Alger/Inalco

14h30-14h50 Dalila MORSLY, professeure de linguistique, Université d’Angers: «Combat de femmes: la dure vie d’une institutrice»
14h-50 -15h10 Ouanessa TENGOUR, chercheure CRASC, Oran: «Guerres des femmes»

Débat – Pause

15h40 – 16h Zineb ALI-BENALI, MCF-HDR Paris8: «Devenir sujet de son corps. Parcours de femmes dans la littérature algérienne»
16h – 16h20 Hind TENGOUR, doctorante Paris3: «Mémoire du corps de Ahlam Mosteghanemi»

Débat – Clôture de la journée

Actualité des enseignants

Jean-François Laé, professeur au département de sociologie de l’université Paris VIII, enseignera de janvier à mai 2006 dans le département de sociologie de l’Université de Montréal, un cours de premier cycle – « Débats théoriques contemporains – La généalogie chez Michel Foucault« ; ainsi qu’un séminaire de deuxième et troisième cycles « Sociologie de la pauvreté« .
Marie Bonici a été recrutée comme ATER (Attachée temporaire d’enseignement et de recherche) ; sa thèse, en cours de rédaction, aura pour titre : « Du couple à la famille : analyse sociologique des changements sociaux liés à la naissance des enfants ». Elle est rattaché au laboratoire GRASS.
Les recherches de Thomas Sauvadet : Processus de ghettoïsation et mode de socialisation ont été présentées en détail dans le Journal de Paris VIII.

Réunion Master enseignants/étudiants : 15 juin, 15h, salle B336

Une réunion d’information sur le Master aura lieu le mercredi 15 juin 2005 à 15h – RdV salle B 336.
De nombreuses informations (brochure, conditions d’inscription, présentation du master pro) sont disponibles sur la page Master en sociologie.

Une enquête sur les étudiants et la religion

Mercredi 8 juin ont été présentés, dans le cadre du séminaire du Groupe d’Etudes et de Recherche sur les Mouvements Etudiants, les premiers résultats d’une enquête dirigée par Charles Soulié et portant sur les pratiques religieuses des étudiants de l’université Paris 8. Plusieurs étudiants de l’université participaient à cette exposition de l’enquête :