Infos étudiants Archive

Début des cours de Mr Weckerlé

Christian Weckerlé débutera ses cours : Genèse de la Discipline, le Vendredi 21 octobre ; et Sociologie de la Communication, le Lundi 24 octobre.

Jury de Deug septembre 2005

Le jury de Deug s’est réuni le 21 septembre sous la présidence de Véronique Petit

Liste des étudiants déclarés admis

ACHECHOUR SABRINA

BELLILI SONIA

BEN OUADA OULFA

BERTRAC DANIELLA

COUTOULY SOPHIE

CRENN FLORENCE

DUPONT AGNES

FETTOUM HAKIMA

GAILLARD ALEXANDRE

GERMAIN STANLEY

HANDOUALI HOUAIDA

KEITA FATOUMATA

KRAFFA DESIRE JACOB

LABORDE LAETITIA

MAHBOUB YAMNA

MAIZIERE PERRINE

NICOLLEAU GREGORY

PAUSICLES JOHANY

PERROT CAMILLE

SOUICI AICHA

TALLET ERIC

TAVARES FRANCISCA

TOSSOU KOSSIVI

PS : Les étudiants déclarés admis peuvent retirer un récépissé de diplôme au bureau G113, Tel : 01.49.40.64.50

Claire Lévy-Vroelant dans Le Monde

Le quotidien Le Monde publie aujourd’hui un éditorial de Claire Lévy-Vroelant, professeure de sociologie à l’université Paris 8 (Vincennes – Saint-Denis).

Logement social : une crise de l’Etat de droit, par Claire Lévy-Vroelant
LE MONDE | 13.09.05 | 13h23 • Mis à jour le 13.09.05 | 13h23
Point de vue

Les récentes catastrophes survenues dans les hôtels parisiens provoquent une irrépressible impression de déjà-vu. Ces drames s’inscrivent dans une longue série, dont les victimes sont presque toujours des étrangers ou des Français issus depuis peu de l’immigration.
Souvenons-nous de l’incendie, le 25 août 1989, à l’Hôtel Royal, à Clichy-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) : huit personnes y avaient trouvé la mort. Il fut suivi par la création de résidences sociales, sous l’impulsion de Louis Besson, mais pauvres et immigrés logés dans l’habitat précaire ont continué à voir leurs conditions de vie s’aggraver. Que l’on relise les articles de l’époque : à quelques chiffres et termes près, les constats sont aujourd’hui, désespérément, les mêmes.

Faut-il conclure à la fatalité du « mal-logement », monstre auquel sont régulièrement sacrifiées des vies innocentes, particulièrement d’enfants et de gens de couleur ? Pourtant, les contextes et les acteurs changent. Vers 1930, les garnis et hôtels de la capitale logeaient 11 % de la population parisienne. A l’époque et jusqu’aux années 1960, l’arrivée en ville passait par un hébergement plus ou moins durable mais jamais définitif, à l’hôtel ou en meublé. La différence avec le logement ordinaire n’était alors pas flagrante. Lois et règlements étaient interprétés dans un esprit de large tolérance par les inspecteurs. Les consignes officielles y invitaient de façon répétée (en cela rien n’a changé). On vivait en garni ou à l’hôtel, mal nécessaire mais porte d’entrée, en attendant mieux.

Le développement démographique de la capitale était alors rapide. Les migrants de l’intérieur (puis de l’étranger) devaient y trouver leur place. Ce n’est plus le cas depuis plusieurs décennies. Ce qui reste du secteur environ 900 hôtels, contre plus de 20 000 au début des années 1930 ! constitue à présent la résidence des exclus du logement ordinaire, sans espoir d’en sortir pour la plupart. De tremplin, l’hôtel ­ insalubre ou pas est devenu cul-de-sac.

La composition de leur population s’est fortement modifiée. Essentiellement constituée dans les deux décennies qui ont suivi la seconde guerre mondiale de jeunes ouvriers (et de familles, en nombre limité), elle compte de plus en plus d’immigrés âgés et de familles originaires d’Afrique subsaharienne. De l’Hôtel du Nord et ses semblables ne reste que le souvenir cinématographique.

En cédant leurs immeubles à des marchands de biens, les propriétaires renoncent à une source de revenus médiocre et échappent à de coûteux travaux. Les hôtels tombent dans le parc privé et sont perdus comme logement des plus démunis. Les profits spéculatifs qui résultent de leur rachat par un promoteur privé sont d’autant plus élevés que l’immeuble est vide. On comprend mieux, du coup, comment certains propriétaires sont « amenés » à laisser les locaux se dégrader sur place, voire à procéder à des coupures d’eau et d’électricité… La dégradation des hôtels n’est pas uniquement le résultat inéluctable d’une gestion à court terme des gérants. Elle résulte du marché immobilier et d’acteurs qui s’y positionnent dans un contexte très libéral.

Les tenanciers, aussi, ont changé. De statut purement privé (commercial), l’hôtel s’est vu paradoxalement reconnaître un rôle social à mesure que les pouvoirs publics « découvraient », poussés par tel ou tel incendie mortel, le « drame de l’habitat insalubre ».

Deux types de réponses ont été successivement donnés. A partir de la fin des années 1960, on facilite les expropriations pour cause d’utilité publique et on crée une offre de logement spécifique : les foyers. L’habitat insalubre, bidonvilles inclus, ainsi « résorbé », des lendemains radieux s’ouvraient pour tous (ou presque). Neuf millions de logements sont construits de 1954 à 1975. Avec ses défauts, la production était devenue quantitativement satisfaisante. Ce n’est plus le cas, tant s’en faut.

Deuxième réponse : dans les années 1980, le logement est entré dans les politiques sociales. Aux objectifs quantitatifs (combien de logements nécessaires ?), on a substitué des objectifs qualitatifs : le logement des « personnes défavorisées » est devenu un programme, qui génère l’invention de nouveaux « produits logements », généralement temporaires et de qualité inférieure. L’aggravation de la pénurie a poussé les pouvoirs publics à multiplier les hébergements durables et d’urgence.

Tout se passe comme si les politiques avaient renoncé à offrir des logements à des prix correspondant aux possibilités des demandeurs. Ainsi, plus le droit au logement se voyait renforcé dans la loi, plus il devenait aléatoire dans la réalité.

Depuis les années 1990, l’intervention publique, dans ses dispositions législatives (loi Besson de 1990, loi d’orientation pour la ville (LOV) de 1991, loi de lutte contre les exclusions de 1998, loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains (SRU) de 2000), pose comme priorité non plus la satisfaction de besoins en termes quantitatifs, mais l’accès des populations « défavorisées » à un logement « décent » . De garant de l’accès à l’habitat pour tous, l’Etat devient hébergeant, déléguant une partie de ses fonctions aux compétences des associations et au bénévolat.

L’ensemble des dispositifs aurait dû assurer le droit au logement. Il n’en est rien. A-t-on pris la mesure du dysfonctionnement qui s’exprime dans la formule utilisée pour décrire le logis des victimes des incendies récents : « hébergement de fortune payé par l’Etat pour des familles précaires et immigrées » ? Une proportion proche des 40 % : telle est la part des chambres d’hôtel « réservées », financées par les pouvoirs publics et leurs relais associatifs, pour loger les « populations incasables », à des prix très supérieurs au « marché » et dans des conditions souvent mauvaises.

Par ailleurs, des dizaines de milliers d’appartements sont vacants en Ile-de-France. Qu’on ne s’étonne pas, dès lors, de la multiplication des squats et logements irréguliers, lesquels sont connus et tolérés, faute de « solution de relogement », par les services sociaux, les associations et les services préfectoraux.

Le mouvement récent des travailleurs sociaux, en Ile-de-France, montre que la multiplication des solutions précaires et provisoires coûte non seulement très cher mais a atteint ses limites. Au passage, il devient difficile de noyer dans l’opprobre général les « marchands de sommeil », alors qu’une bonne part des hôteliers parisiens font leur travail honnêtement, dans des conditions difficiles, et que des associations reconnues et financées par l’Etat gèrent massivement ce type de structures.

Tous travaillent sur le fil du rasoir. Coincés entre l’injonction à secourir et l’interdiction de loger « clandestins » ou « surnuméraires », entre le respect des normes de sécurité et les blocages de tous ordres, ils pratiquent volens nolens la politique de la « patate chaude » : l’art de se débarrasser des cas « insolubles ».

Accentuation du traitement social du logement par l’Etat et fonctionnement quasi sauvage du marché, émergence de nouveaux bailleurs privés et publics de logements temporaires et d’hébergement, complexification des missions des collectivités locales et accroissement de leurs responsabilités, mobilisation publique réduite aux associations de droit au logement, tels sont les principaux éléments du changement.

Au-delà des drames irréparables, l’impuissance durable des politiques constitue un dangereux abcès de fixation dont les conséquences dépassent de loin les quelques milliers de familles qui errent de taudis en taudis. Dans son 8e rapport (2004), le Haut Comité pour le logement des personnes défavorisées dénonce une crise aux caractéristiques nouvelles : « La crise du logement est aussi une crise de l’Etat de droit. » L’enjeu est aussi simple et vaste que cela.

L’impossible relogement des familles, vivant à l’hôtel ou dans des logements de fortune, remet en cause l’ensemble des pratiques actuelles. La solution passe par la construction massive de logements abordables et la mise en oeuvre fermement dirigée de la solidarité nationale. Reste à réfléchir sur les innovations nécessaires en matière de partenariats public-privé, de conception architecturale, de modes de financement. Sans oublier d’écouter les habitants meilleurs experts de leur propre existence. Questions hautement politiques. Faute d’y trouver des réponses, de nouveaux drames seront à déplorer.

Claire Lévy-Vroelant est professeur de sociologie à l’université Paris-VIII – Saint-Denis, chercheuse au Centre de recherche sur l’habitat du CNRS.

Article paru dans l’édition du 14.09.05

Inscription en doctorat

note : Voir aussi la page Doctorat du département de sociologie (procédure d’inscription, directeurs de thèse, laboratoires d’accueils, thèses récentes).

Informations sur la gestion administrative des doctorants et sur les procédures d’admission rentrée 2005.

Le renforcement de l’encadrement administratif des écoles doctorales a été considéré comme une des priorités du contrat quadriennal. Aussi a-t-il été convenu, dans le cadre de la réorganisation de l’adossement administratif, de créer des secrétariats d’écoles doctorales qui auront, entre autre, en charge l’admission et la gestion des dossiers des doctorants.

Dans l’attente de leur mise en place, c’est la Coordination des écoles doctorales assistée des gestionnaires du Bureau des diplômes qui assurera l’admission des doctorants pour toutes les formations.

Dès cette rentrée, les admissions en première année de doctorat ainsi que les dérogations à partir de la 4ème année feront l’objet d’une procédure informatisée.

La mise en place de cette application a été proposée par la Coordination des ED en concertation avec le Bureau du Conseil
scientifique, les directeurs des ED, le Service de la scolarité et le Service informatique.
Elle devrait constituer une amélioration pour les doctorants dont les démarches se trouveront simplifiées puisque regroupées au sein d’un secrétariat unique qui se chargera du recueil des signatures des directeurs de thèses et de celles des directeurs d’ED.
Elle présente aussi l’avantage d’avoir été développée à partir de la base de données de la scolarité centrale, donc de disposer d’informations unifiées et de permettre le suivi individualisé des doctorants.

Les candidats à l’admission ou en situation de demande de dérogation devront se présenter ou contacter la Coordination à partir du 15 octobre pour obtenir un code confidentiel d’accès à l’application informatisée. Pour une première admission, le candidat devra avoir contacté un directeur de recherche et présenter l’accord préalable de celui-ci.

La salle informatique de la recherche, située en A 2276 à coté de la Coordination, sera mise à leur disposition durant la période d’inscription (17 octobre au 30 novembre). Il est prévu un accès par Internet pour les étudiants résidant à l’étranger ou en province qui ne peuvent se rendre à l’Université.

Le descriptif détaillé de la procédure informatisée a été mis en ligne sur le site de l’Université – rubrique Scolarité – et sur le site de la Recherche et des études doctorales rubrique: services aux étudiants.

Par avance, je vous remercie de bien vouloir relayer cette information auprès de vos collègues et de diriger les étudiants concernés vers notre service.

Marie-Christine Lamiche

Marie-Christine Lamiche
Coordination des Ecoles doctorales
Tél. : 01.49.40.70.53
Fax : 01.49.40.70.41

Licence : réunions d’information obligatoires

Rentrée 2005-06

Vous venez de vous inscrire administrativement en Licence de sociologie – anthropologie (L1). Avant de procéder à votre inscription pédagogique (inscription dans les cours), deux réunions d’information sont prévues (salle B332).

Vendredi 23 septembre 2005 à 10h
Mardi 27 septembre 2005 à 14h

N.B : Vous êtes invités à venir retirer la brochure et l’emploi du temps au bureau B 348 : les lundi, mardi, mercredi, vendredi de 14h à 16h.

Bonne rentrée.

Examens 2ème session Deug

Les salles seront indiquées le jour de l’examen

Barthélemy – Textes grandes enquêtes de terrain 13/09 à 14h

Béliard- Débat 2 13/09/ à 09h30

Biheng – Lecture grandes enquêtes par questionnaire

Bonici – Travail de terrain 13/09 à 16h30

Bordiec- Domaine : jeunesse 16/09/ à 16h30

Bosc – SFC 16/09 à 11h30

Coulmont- Initiation à la sociologie 12/09/ à 10h

Davault – Travail de terrain 13/09 à 9h

Grumbach- Analyse de contenu

Hénaut- Statistiques 13/09 à 16h30

Huyard- Statistiques/ textes grdes terrain 13/09/ à 10h
Pré inscription obligatoire auprès de M. Sow

Joubert- La santé

Kadri – Travail de terrain

Laé- Observation

Lafaye – Entretien

Lévy-Vroelent- Domaine : la ville 20/09 à 10h30

Linossier- Débats I 16/09 à 11h30

Milova – MTU/ Enquête par questionnaire 12/09 à 16h

Paperman- Observation 16/09 à 16h30

Peretz – Domaines / textes de langue anglaise 14/09/ à 14h

Petit- Démographie 13/09/ à 11h30

Samuel – Domaine : Meillassoux

Sauvadet-Lecture grandes enquêtes par questionnaire 19/09/ à 14h

Siracusa -Lecture grandes enquêtes par questionnaire 14/09/ à 11h

Soulié / Gagneux – Lecture grandes enquêtes par questionnaire
CSD 14/09/ à 13h

Trat – Rapports hommes femmes 14/09/ à 14h

Trat – Travail de terrain 15/09/ à 9h30

Rattrapages examens licence/maîtrise

LICENCE – MAITRISE – DATES DES EXAMENS SECOND SEMESTRE (2)
SESSION DE SEPTEMBRE

Enseignant / Date Heure / RdV Semestre

PAPERMAN
LUNDI 19 SEPT 14H
B 332 2

SIRACUSA
MERC 14 SEPT 11H
B 332 stat 2

SOULIE
MERC 14 SEPT 13H
B 332 2

GRUMBACH
MARDI 13 SEPT 10h
B 332 stat 2

BOSC
MERC 14 SEPT 11H30
B 332 2

PERETZ
MERC 14 SEPT 14H
B 332 2

COULMONT
LUNDI 12 SEPT 14H
B 332 2

WECKERLE
MERC 21 SEPT 14H
B 332 2

LAFAYE
JEUDI 15 SEPT 10H
B 332 2

LOMBA
MARDI 13 SEPT 9H
B 332 2

PETIT
MARDI 13 SEPT 9H
B 332 2

Départs

Aïssa Kadri, qui était maître de conférences au département de sociologie de l’université Paris VIII et directeur de l’Institut Maghreb-Europe a été élu professeur à l’université d’Orléans où il enseignera à partir de septembre 2005.
Henri Peretz, maître de conférences, a fait valoir ses droits à la retraite, de même que Michel Meyer, maître de conférences, Serge Bosc, PRAG, et Jean-Claude Combessie, professeur.
Pour l’année scolaire 2005-2006, Patricia Paperman, maître de conférences, sera en « délégation CNRS »

Licence et master : présentation et dates des réunions

Les présentations de la licence de sociologie et du master de sociologie sont disponibles :
Présentation complète du master (pdf) (Ne pas oublier de consulter les Conditions d’accès au master de sociologie)
Présentation complète de la licence (pdf, 30 pages)

Réunion d’information pour l’inscription en licence
Premières réunions d’information, pour les étudiants s’inscrivant en L1 :
Salle B 332 –
Vendredi 8 juillet 2005 à 10h
ET mardi 12 juillet 2005 à 14h30

Une réunion d’information sur le Master
Les étudiants souhaitant des informations sur le master de sociologie sont invités à une réunion le Mercredi 15 juin 2005 à 15h – RdV salle B 336. Une présentation du master en sociologie est disponible, ainsi qu’une présentation du Master Pro : Conseil en organisation et conduite des innovations sociales.

Informations « rentrée » Master de sociologie

Informations concernant la rentrée
Le début des cours est celui affiché dans le calendrier de l’université.
– réunion d’accueil, dans lesquelles les étudiants admis prendront contact avec leur directeur de recherche ? la séance d’accueil
    des étudiants inscrits en master 1 : le 5 octobre à 16h
    des étudiants inscrits en master 2 : le Jeudi 13 octobre 13h –15h avec les enseignants et les labos associés puis 15h- 17h à 59 rue Pouchet 17° (la salle sera indiquée sur le tableau blanc dans le hall en principe salle 124).
présentation complète du master de sociologie (brochure de 50p. au format PDF)

Permanence des enseignants
IMPORTANT, OBLIGATOIRE :
– chaque étudiant qui était déjà inscrit en maîtrise ou en master dans l’année universitaire 2004-2005 et qui n’a pas obtenu son diplôme doit passer rencontrer un enseignant aux permanences pour remplir sa grille d’équivalence d’EC et connaître les conditions à remplir pour obtenir son diplôme.
– Ces permanences ont aussi pour objectif de discuter avec les étudiants qui le souhaitent de leurs projets de recherche qui doivent donc dans ce cas rencontrer un enseignant au tout début des permanences. Une feuille d’inscription de rendez -vous est affichée au 3° étage du bâtiment B pour que vous puissiez vous inscrire. Une priorité sera donnée à ceux qui seront inscrits.

Voici la liste des permanences :

Jean-Pierre Briand
    Lundi 5 septembre 10h-12h

Régine Bercot
    Mardi 6 septembre 9h45-12h

Tiphaine Barthélémy
    Mardi 6 septembre 14h 15-16h45

Claire Levy Vroelant
    Mercredi 7 septembre 10h15- 12h30

Michel Joubert
    Mercredi 7 septembre 14h15-16h45

Jean François Laé
    Jeudi 8 septembre 14h 15-17h

Charles Soulié
    Vendredi 9 septembre 13h45- 17h

Michel Joubert
    Lundi 12 septembre 9h30 –12h30

Véronique Petit
    Mardi 13 septembre 9h30 –12h30

Régine Bercot
    Mardi 13 septembre 15h-17h

Jacques Siracusa
    Mercredi 14 septembre 13h30-17h

Josette Trat
    Vendredi 16 septembre 9h30-11h30

Corinne Davault
    Mardi 20 septembre 13h- 14h30

Claire Lévy-Vroelant
    Mardi 20 septembre 10h- 16h

Info pour les jurys de niveau M 1

Deux sessions, dépôt des dossier au 1 juillet, ou au 16 septembre pour les étudiants
Attention les étudiants doivent :
– avoir soutenu leur mémoire de maîtrise le 15 septembre au soir s’ils veulent candidater en M2 et
– avoir déposé leur mémoire, leur projet et leur dossier complet (disponible au secrétariat).

Pour le premier jury M1 et M2 session de juillet :

Les étudiants devront avoir déposé leur dossier avant le 1er juillet. Les enseignants comme les autres années passent regarder les projets, contactent les étudiants pour leur demander éventuellement de modifier leurs projets.

Jury Enseignants : Le 7 juillet à 14h pour les étudiants demandant une équivalence

– Pour le deuxième jury M1 session de septembre
Dépôt des dossier avant le 16 septembre.

Jury de niveau M2 Recherche

Première session
– Date limite pour les étudiants (dépôt des dossier le 1 juillet ).
– Réunion des enseignants du M2 en jury d’admission le 7 juillet à 16h .

Deuxième session
– Date limite pour les étudiants (dépôt de dossier) avant le 16 septembre.
– Réunion des enseignants du M2 en jury d’admission le 23 septembre à 14h
– Les étudiants sont susceptibles d’être auditionnés le vendredi 30 septembre à partir de 10h si leur projet de recherche peut être accepté mais moyennant des modifications qui devront être faites.

Au terme de ces commissions certains candidats seront admis définitivement, d’autres invités à représenter leur projet.

Félicitations aux bacheliers futurs étudiants

Félicitations aux nouveaux bacheliers et aux futurs étudiants de Paris VIII !
Les personnes souhaitant s’inscrire en licence de sociologie sont invitées à assister à une réunion d’information, vendredi 8 juillet à 10h ou mardi 12 juillet à 14h30.
Premières réunions d’information, pour les étudiants s’inscrivant en L1 :
Université Paris 8 – Bâtiment B – salle 332
Vendredi 8 juillet 2005 à 10h
ou mardi 12 juillet 2005 à 14h30

Femmes et violences

L’IME (Institut Maghreb Europe, Paris8) et le GTM (Genre Travail Mobilités, CNRS/ Paris8/Paris10)

Organisent Samedi 25 juin 2005 une journée d’études à l’Université Paris VIII (Vincennes à Saint-Denis)
(Métro ligne 13 Saint Denis université, Salle C008)

FEMMES ET VIOLENCES

Le matin
Présidence: Aïssa KADRI, Directeur de l’Institut Maghreb-Europe

9h- 9h 20 Nasséra MERAH, doctorante IME-Paris 8: «Discours sur les droits des femmes dans l’histoire contemporaine de l’Algérie»
9h20 – 9h40 Nadia AGSOUS, doctorante IME-Paris8: «La violence symbolique : de la domination masculine dans le Code de la famille»
9h40 -10h Laila HAMILI: doctorante à l’EHESS: «Les femmes Marocaines issues des classes populaires et la Moudawana»

Débat – Pause

10h30 – 10h50 Marguerite ROLLINDE, chercheure IME-Paris8: «Femmes et prison au Maroc»
10H50 -11h10 Berkaoum FERHATI, chercheure CNRPAH, Alger: «La lutte contre l’excision au Soudan. Entre politique volontariste, résistance sociale et globalisation»
11h10 -11h30 Christelle HAMEL, chercheure INED: «Rapports sociaux de sexe, rapports sociaux racistes: l’exemple des tournantes»

Débat – Repas

L’après midi
Présidence: Mourad Yelles, M.C. Université d’Alger/Inalco

14h30-14h50 Dalila MORSLY, professeure de linguistique, Université d’Angers: «Combat de femmes: la dure vie d’une institutrice»
14h-50 -15h10 Ouanessa TENGOUR, chercheure CRASC, Oran: «Guerres des femmes»

Débat – Pause

15h40 – 16h Zineb ALI-BENALI, MCF-HDR Paris8: «Devenir sujet de son corps. Parcours de femmes dans la littérature algérienne»
16h – 16h20 Hind TENGOUR, doctorante Paris3: «Mémoire du corps de Ahlam Mosteghanemi»

Débat – Clôture de la journée

Actualité des enseignants

Jean-François Laé, professeur au département de sociologie de l’université Paris VIII, enseignera de janvier à mai 2006 dans le département de sociologie de l’Université de Montréal, un cours de premier cycle – « Débats théoriques contemporains – La généalogie chez Michel Foucault« ; ainsi qu’un séminaire de deuxième et troisième cycles « Sociologie de la pauvreté« .
Marie Bonici a été recrutée comme ATER (Attachée temporaire d’enseignement et de recherche) ; sa thèse, en cours de rédaction, aura pour titre : « Du couple à la famille : analyse sociologique des changements sociaux liés à la naissance des enfants ». Elle est rattaché au laboratoire GRASS.
Les recherches de Thomas Sauvadet : Processus de ghettoïsation et mode de socialisation ont été présentées en détail dans le Journal de Paris VIII.

Réunion Master enseignants/étudiants : 15 juin, 15h, salle B336

Une réunion d’information sur le Master aura lieu le mercredi 15 juin 2005 à 15h – RdV salle B 336.
De nombreuses informations (brochure, conditions d’inscription, présentation du master pro) sont disponibles sur la page Master en sociologie.

Une enquête sur les étudiants et la religion

Mercredi 8 juin ont été présentés, dans le cadre du séminaire du Groupe d’Etudes et de Recherche sur les Mouvements Etudiants, les premiers résultats d’une enquête dirigée par Charles Soulié et portant sur les pratiques religieuses des étudiants de l’université Paris 8. Plusieurs étudiants de l’université participaient à cette exposition de l’enquête :

L’univers des services (Bercot et de Coninck)

Régine Bercot (professeure au département de sociologie, co-responsable du master de sociologie) et Frédéric de Coninck viennent de publier, aux éditions L’Harmattan, un ouvrage intitulé L’Univers des services :

Cet ouvrage repose sur un pari : au delà de la diversité des secteurs qui fournissent un service, il est possible de faire état de proximités. On voit resurgir des tensions, et des enjeux semblables. Au-delà de telle ou telle relation de service particulière, les processus qui permettent de produire le service s’organisent à partir de modes analogues.
Cet ouvrage tend à montrer qu’il est pertinent de parler de modèle d’organisation y compris dans les services. Des enquêtes de terrain importantes ont été conduites dans de grandes entreprises de service. Leur analyse permet de faire apparaître des convergences dans des secteurs pourtant assez différents : transports ferroviaire et urbain, poste, télécommunications, assurance.
Les modèles reposent notamment sur la manière dont sont articulés le type de service, le type de clientèle servi, et le type d’organisation. service de masse, service personnalisé ou sur mesure, les formes organisationnelle diffèrent. On retrouve également des problématiques rencontrées dans le champ industriel ; on y observe les mêmes fractures entre salariés sur les représentations qu’ils se font du client.

Ont aussi participé à cet ouvrage Elisabeth Campagnac, Sophie Beauquier, Véronique Bruch, Julie Delmas et Philippe Zarifian.

Conduites à risques

Michel Joubert, directeur du département de sociologie de l’université Paris VIII, et Thomas Sauvadet, ATER au département, participent les 16 et 17 juin 2005 aux Rencontes de la prévention des conduites à risques qui se tiennent à la Bourse du Travail de Saint-Denis (pdf).

Il sâ??agit de poursuivre une reÌ?flexion collective â?? et non simplement de diffuser des reÌ?sultats ou de proposer des « bonnes pratiques » â?? en sâ??appuyant sur les processus de travail engageÌ?s par la mission de preÌ?vention des conduites aÌ? risques avec les principaux acteurs du deÌ?partement : quâ??il sâ??agisse des « principes de reÌ?feÌ?rence de la preÌ?vention des conduites aÌ? risques », de lâ??eÌ?tude longitudinale sur les conduites aÌ? risques meneÌ?e avec 1000 jeunes de 13-25 ans reÌ?sidant en Seine-Saint-Denis, des meÌ?thodes et apports de lâ??eÌ?valuation des actions de preÌ?vention ou encore de la reÌ?flexion sur les pratiques professionnelles

Sociologie des religions et du monde enseignant

Sous la direction de Charles Soulié, maître de conférences au département de sociologie, des étudiants de licence ont construit et fait passer environ 1300 questionnaires portant sur les pratiques religieuses de leurs camarades. Cette recherche s’est poursuivi, dans le cadre d’un cours sur la méthodologie de l’entretien sociologique, par la réalisation d’une trentaine d’entretiens avec d’autres étudiants.
Les premiers résultats de cette enquête (et expérience pédagogique) seront présentés le 8 juin 2005 entre 18h et 20h au Centre d’Histoire de Sciences Po (56 rue Jacob, 75006) dans le cadre d’un séminaire du Groupe d’études et de recherche sur les mouvements étudiants. Charles Soulié sera accompagné de deux étudiantes de licence ayant participé à l’enquête, N. Khan et G. Khaldi.
Par ailleurs, Charles SoulieÌ?, Sylvia Faure et Mathias Millet viennent de rendre public un rapport intitulé Enquête exploratoire sur le travail des enseignants-chercheurs. Vers un bouleversement de la « table des valeurs académiques » ?, disponible au format PDF.
Le quotidien L’Humanité en a rendu compte ainsi :

Journal l’Humanité, Rubrique Société, Article paru dans l’édition du 3 juin 2005.
Universitaires chrono-phagocytés
Administration accaparante ou financements difficiles transforment le métier dâ??enseignant-chercheur. Première victime : la recherche.

Les enseignants-chercheurs sont en pleine mutation. Ils vivent un « bouleversement de leur table de valeurs académiques », dâ??après une étude (1) menée par Sylvie Faure, Charles Soulié et Matthias Millet, tous trois sociologues. Ces universitaires ont interrogé 507 de leurs collègues sur leurs conditions de travail, révélant un certain malaise : leur activité de recherche se rabougrit au profit de la très encombrante administration, accompagnant une dégradation de leur situation. La faute à « la massification des publics étudiants, la complexification des procédures de financement de la recherche, comme des réformes successives de lâ??enseignement supérieur et de la recherche », écrivent les auteurs de lâ??étude.
Motivée par le rapport Belloc, qui prône lâ??émergence au sein des universités dâ??enseignants à temps complet dâ??un côté et de chercheurs de lâ??autre (voir lâ??Humanité du 14 janvier 2004), cette étude sociologique vise à détailler « les contraintes pesant sur les universitaires ». Ses auteurs, mobilisés contre le rapport Belloc, se sont adressés prioritairement à « leur réseau » de connaissances, biaisant légèrement leurs résultats. « Nous avons toutefois fait lâ??effort de comparer la population de répondants à la population mère, corrige Charles Soulié, de lâ??université Paris-VIII. Nous avons ainsi constaté une différence de situations entre les disciplines et la façon dont nos collègues sont submergés par le travail administratif ».
Dâ??une discipline à lâ??autre, chacun nâ??a en effet pas le même rapport à son travail. En lettres et, dans une moin- dre mesure, en sciences humaines, les universitaires évoluent généralement en individuels, en « artisans », tandis que les physiciens et les biologistes travaillent plus souvent en équipes, avec des fonds importants. Toutefois, dans tous les cas, les financements publics se font de plus en plus rares. Quelque 60 % des universitaires déclarent financer eux-mêmes leurs recherches. « Beaucoup dâ??universitaires disparaissent dans la recherche de contrats, ce qui imprime une démarche dâ??entreprise à leur travail. Les sujets sont alors plus appliqués à des problématiques ciblées », décrit Charles Soulié.
De fait, le métier d’enseignant-chercheur bute sur une difficulté majeure : le temps de la recherche, long, se conjugue mal avec « la temporalité en flux tendu de certaines activités administratives, comme la routinisation afférente aux activités pédagogiques ». La réforme des universités, dite LMD (licence-mastère-doctorat), en rajoute une couche en accentuant la « professionnalisation » des formations. Les universités se rassemblent alors en pôles d’excellence, au détriment des établissements modestes. « Quelle sera la part de l’évaluation pédagogique et administrative interne à l’université et l’évaluation scientifique externe ? » s’interroge Charles Soulié. « Le travail d’enseignants-chercheurs se transforme de plus en plus en celui de managers », regrette-t-il.
Vincent Defait
(1) http://www.afs-socio.fr/

Répondre à la souffrance sociale

Répondre à la souffrance sociale, sous la direction de Michel Joubert (directeur du département de sociologie de l’université Paris 8) et Claude Louzun, vient d’être publié aux éditions Eres.

Baliser la souffrance sociale, symptôme d’une société du profit qui ne sait partager, la repérer sous ses diverses déclinaisons, notamment dans le monde du travail et de ses exclus, l’illustrer d’analyses accompagnées de réponses concrètes, tel est le but de l’approche tant sociologique que clinique proposée [dans cet ouvrage]

Pour en savoir plus…

Recrutement d’une nouvelle enseignante

Marie Ménoret a été recrutée au poste de maître de conférence « sociologie de la santé » : après avoir été élue maître de conférence à Caen et y avoir enseigné entre 2000 et 2003 puis obtenu une délégation au CNRS, elle rejoint dès septembre le département de sociologie. Marie Ménoret est notamment l’auteure des Temps du cancer (Editions du CNRS, 1999), et, avec Danièle Carricaburu, de Sociologie de la santé : Institutions, professions et maladies (Editions Armand Colin, 2004).